Je voudrais partir, m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

J'aimerais être avec toi, j'aimerais que tu me prennes dans tes bras. Je pense tout le temps à toi. 
Quand je te vois, je te regarde quand je sais que tu ne me regardes pas. Parce que je ne veux pas croiser ton regard, parce que je ne veux pas te faire la bise. Je veux plus que ca. 
Je veux sentir ton odeur dès mon réveil, je veux voir ton visage quand j'ouvre les yeux. Je veux qu'on s'envoie des messages niais, tu sais les messages qui disent toujours la même chose genre " tu me manques " mais qui font toujours autant plaisir. Je veux qu'on s'attende à la sortie des cours et qu'on rentre ensemble. Je veux que tu penses à moi autant que je pense à toi, et qu'on attende avec impatience le moment de se voir. Je veux être la seule à pouvoir te consoler, la seule avec qui tu serais vraiment bien. Ce serait tellement bien si tu pouvais être tout à moi, si on pouvait juste être heureux ensemble, rien que tous les deux, sans se soucier du monde, des autres. Sentir ta présence à chaque minute, savoir que tu seras là quoi qu'il arrive. Faire l'amour avec toi autant que je le voudrais, te serrer contre moi. Que tu me dises " Je t'aime " et que je te répondes " Moi aussi, je t'aime. ". Parce que c'est vrai, et pas parce qu'il faut le dire. Je veux qu'on s'engueule, qu'on s'insulte, que je te plaque contre le mur pour te frapper et qu'en fait j'aille seulement t'embrasser.  Je veux que tu me rendes heureuse. 

16.05.11 

J'ai envie de marcher puis de m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

 Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
 Tu vois là, en ce moment même, j'hésite entre te foutre une grosse gifle ou t'embrasser.
Ya une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi. J'aimerais que cette partie de moi triomphe.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lacher.
Et qu'est ce que je suis censé faire moi ?



Si tu me veux, fais moi croire le contraire.

Ce sont ses yeux. Ils avaient quelque chose de fascinant.

Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
Je ne sais plus quoi faire, si je dois t'ignorer, essayer de te parler, ou bien t'insulter.
Il y a une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lâcher.

Vas-y, avance. Ne te retourne pas, je ne suis plus là. Avance et n'y repense plus. Tu as tourné la page, continue. Oublie tout, recommence.

Très bien, tu veux jouer à ça. On va jouer. Mais saches que la haine est un putain de carburant et que personne ne pourra me freiner. Je veux que tu souffres autant que moi. Je veux que tu vois tout tes espoirs s'écrouler. Je veux que tu chiales toutes les larmes de ton corps.

23.04.11