J'ai souvent envie de te quitter. A chaque fois que je sens que tu m'échappes, j'ai envie de te quitter avant que tu ne le fasses. C'est un moyen pour moi de nier que je suis attachée à toi, je me laisse penser que je suis capable de te quitter à n'importe quel moment. Je n'arrive pas à me dire : laisse toi aller, fais lui confiance, laisse toi l'aimer. J'ai trop peur que tu t'en ailles. J'arrive plus à faire confiance, je suis dans le doute en permanence, je ne veux pas être sans défense. 

Je ne veux pas te laisser me quitter.

Comment peut-on perdre le contrôle de soi même, de ses propres émotions à cause d’une personne ? Pourquoi est-ce si douloureux ? Quand plus rien n’a de gout si il n’est pas là, quand toutes les couleurs deviennent fades, toutes les activités moroses, quand plus rien ne me donne envie de me lever, quand même mes amis ne me font plus rire. Quand je ne sens plus mon cœur battre, quand je n’arrive plus à rien, rien qu’à penser à lui.

Addiction #1

Le plus dur est de s'en rendre compte.
Au début on ne se rend compte de rien, on se voile la face, on ne trouve rien à redire sur notre comportement. Et puis arrive le moment où la souffrance apparaît. La frustration, les questionnements. Pourquoi est ce que je fais ça ? Le sentiment de solitude s’accroît de jour en jour, nos amis nous comprennent de moins en moins, on sent qu'on s'éloigne de la normalité, inconsciemment. Petit à petit, notre vie ne tourne qu'autour de ça, nous sommes seuls face à nos difficultés.
Nous sommes seuls et c'est bien ça le problème.
L'addiction sexuelle ne rime qu'avec solitude. Nous tombons dedans car nous sommes seuls, et cette dernière ne fait qu’approfondir cette solitude, en nous donnant l'illusion d'une vie remplie de partenaires, de multiplicité, de changement. Au fond c'est de pire en pire, et on ne peut rien faire pour nous en empêcher.
Nous sommes conscients que nous nous faisons du mal, mais nous continuons quand même, parce que le temps d'un instant, d'une rencontre, d'une discussion, d'un ébat, nous ne pensons plus à comment faire pour arrêter mais simplement à ce moment présent.
Ce moment présent où nous ne sommes pas seuls.

28/09/2015

Il faut que ça s’arrête

Ça dure depuis trop longtemps, je veux que tout s’arrête, je veux avoir une vie normale. Je veux être quelqu’un de normal. Je veux que toutes ces questions cessent, je veux juste être une fille. Une fille qui tombe amoureuse, qui a des papillons dans le ventre, qui ne pense qu’à un seul garçon, qui pleure quand il ne répond pas, qui ne peut s’empêcher de sourire à l’idée de le voir. Est-ce qu’un jour je vais être capable de refaire tout ça ? Sans avoir peur ? Sans partir en courant ? Est ce qu’un jour je vais arrêter de me poser un milliard de question, est ce qu’un jour je vais retrouver une relation normale avec un homme ? Quand est ce que je serais capable de tous les abandonner pour ne m’adonner qu’à un seul d’entre eux ? Quand est ce que je n’aurais plus peur d’être seule ? Qui me fera lâcher prise, qui feras disparaître cette façade derrière laquelle je me cache ?

07/2015

Contradiction

Je suis très contradictoire avec moi-même. Je suis pleins de chose à la fois. Je suis trop ou pas assez, mais je ne suis jamais au juste milieu. Et c’est ce dont j’ai besoin, il faut que je trouve mon milieu, que je cesse de vivre dans l’excès.  J’ai été une adolescente morose, déprimée, très renfermée, qui passait ses soirées à écrire des textes d’amour mélancoliques, à broyer du noir,  à faire des déclarations qui n’en finissaient pas, à pleurer sans cesse. Et après ça, je me suis transformée en une sorte de jeune fille borderline, en quête d’indépendance de toute sorte d’aliénation, dénuée de sentiment, vide de l’intérieur pour être forte de l’extérieur.
Je voudrais me retrouver, je ne veux pas juste redevenir celle d’avant. Tout d’abord parce que c’est impossible et puis parce que ce serait une régression. Mais je voudrais retrouver ma passion, mon implication, la façon que j’avais d’aimer. Même si ça faisait mal, ça faisait du bien aussi. Je suis devenue une lâche, j’ai peur de me lancer, j’ai peur de me dévoiler, de dire la vérité aux gens, sur ce que je suis, ce que je ressens. Parce que si je dis tout, ça marche plus. S’il n’y a pas de mystère, tout est plus terne et les gens se désintéressent très rapidement.

J’en ai marre de faire semblant, de devoir m’empêcher d’envoyer des messages ou autres, juste pour feinter de ne rien ressentir, pour que l’autre s’accroche et puis une fois qu’il l’est, et bien ça n’a plus d’intérêt pour moi et alors j’ai tout gâché. Tout est sans cesse  en contradiction, c’est fatiguant. Je sais plus si j’avance, si je recule, si j’aime, si je déteste. Je ne sais plus à quoi j’aspire.

07/2015 

Sex Addicts - Documentaire

" On s'en fou dans ces moments là de se faire du mal on s'en rend même pas compte, c'est ça aussi qui provoque beaucoup de souffrance. On peut avoir la conscience qu'on aimerait réussir à résister, et ne pas réussir à résister. Donc on est complètement pris au piège. "

N'abandonnez pas.

J’admire les gens qui ont fait de leur passion leur métier, qui vivent pour cela et uniquement pour cela, qui excellent dans leur domaine parce qu’ils s’en sont donné les moyens. Le piano n’est pas une passion facile, certes, mais je regrette chaque jour de ne pas m’être investi davantage dans cette voie, d’avoir abandonné si rapidement. J’ai l’impression d’avoir tout gâché, j’étais pourtant quelqu’un de passionnée, je ne prêtais pas attention aux regards des gens, je faisais les choses que j’avais envie de faire et j’aimais ce que je faisais. C’est tellement plus simple de suivre la voie des bons élèves, de ne pas se poser de questions, de suivre l’argent finalement. La question à se poser n’est pas « qu’est-ce que je peux faire après le lycée ? » mais plutôt « qu’est-ce que j’ai envie de faire ? ». Chaque jour je me dis que si je n’avais su faire que du piano je me serais démenée pour y arriver mais puisque j’avais les capacités de continuer dans le scientifique, à quoi bon trimer toute sa vie pour pianoter sur un clavier ? Si ce n’est être heureuse.

15/09/2015

Rien de semblait plus vrai que cet instant

Je lui ai dis de venir chez moi, il a dit ok. Il a dit j’arrive. Il arrive. Ce n’est pas possible. Il ment, ce n’est pas possible. Il ne va pas venir j’en suis sure, ça doit encore être une de ses blagues dont il a la fâcheuse habitude. Je lui ai envoyé un message pour avoir sa confirmation. Pas de réponse. Je tourne en rond. Quelle idiote je suis. Penser qu’il aurait envie de venir chez moi ... N’importe quoi. Je pleure, et il me reste des bières. Je bois. Une, deux, trois … Au pire s’il arrive, je serais bourrée, il aura pitié de moi, il me prendra peut être dans ses bras. Mais qu’est-ce que je raconte, il ne viendra pas. Quatre. Je pleure encore. Cinq. Mon téléphone sonne. J’ai reçu un message. La bière remonte d’un coup. C’est lui, je lis : « je suis dans ta cave ». Ma cave ? Quelle cave ? Il est où ? Je suis tellement sidérée que j’en oublie mon environnement. La cave est juste derrière ma porte. Il est juste derrière ma porte. Merde ! Les cadavres de bières. Précipitamment, je mets tout dans ma poubelle, je sèche mes larmes, et j’ouvre la porte. Il est là. Il est bel et bien là. Avec son pote. Super … Bon, au moins il est là, il est venu. Je reste ébahie devant eux quelques secondes, puis je reprends mes esprits, tant bien que mal. Il me sort :
-          « On va dehors, prends ta guitare. »
Je m’exécute en balbutiant, je tremble, j’ai chaud, j’ai peur. Je ne comprends rien, est ce que c’est un rêve ?
On escalade un grillage pour aller sous le préau de mon ancienne école. On se pose tous les trois, il fait de la guitare et soudain je me mets à chanter, sans doute à cause de la désinhibition due à l’alcool. C’est la première fois que je chante devant lui. J’ai le trac comme si j’étais à l’Olympia. Je suis malade et en plus ma voix vacille. On continue une petite heure, puis on décide de rentrer. Ils me raccompagnent. Arrivée chez moi, je ferme la porte. Je m’écroule à terre et fonds en larme. Je ne peux pas le laisser partir. Je veux qu’il reste là, je veux lui parler, je veux être avec lui. Pour une fois qu’il est là, je veux en profiter. En moins d’une seconde, je rouvre ma porte, je cours dehors, et en l’apercevant, je me jette à son cou et le sers de toutes mes forces en sanglotant « Je t’aime ». Sur le coup il ne me rend pas mon étreinte, il est abasourdi. Et puis je sens ses bras se refermer autour de moi. J’ai l’impression de voler. C’est la première fois que je suis si proche de lui, que je sens son corps si près du mien. Son odeur. Il me chuchote à l’oreille « Tu me gênes là, je ne sais pas quoi te dire. Tu mérites un mec 1000 fois mieux que moi. Tu dis n’importe quoi. Tu vas trouver quelqu’un de bien. Mais pas moi ». Il me relâche délicatement et m’embrasse sur le coin de la bouche. Je suis pétrifiée. Mes larmes coulent lentement et se déposent dans ma bouche entre-ouverte. Il monte sur le scooter de son pote et ils s’éloignent tous les deux. Je reste là au moins 5 minutes, dehors, dans le silence de la nuit. Cependant je ne ressens pas le froid, je suis figée, inanimée. Il est parti. Finalement, je réussis à rentrer tout doucement, puis je vais me coucher, sans me démaquiller, ni me déshabiller. Je m’allonge tout simplement sur mon lit, choquée. Je reçois un message : « Je suis désolée … Je ne suis pas un mec bien pour toi. T’en fais pas, tu peux faire fondre n’importe qui en chantant, même avec le nez bouché. »

Je n’arrive plus à penser, je suis vidée, je suis désemparée. Je lui ai dit de vive voix que je l’aimais, et lorsque j’ai dis ces mots, rien de semblait plus vrai que cet instant.

Ecrit le 22/06/2015, mais vécu bien plus tôt.

La route est encore longue

Je ne sais plus où j’en suis. Un jour j’ai l’impression d’avancer, et le lendemain je recule. Je ne sais plus à qui parler, je ne sais même plus comment expliquer aux gens ce que je ressens puisque je suis incapable de le savoir moi-même. Je ressentais tellement de choses avant, j’étais tellement sensible. Depuis j’ai l’impression d’être bloquée, je me suis construite une carapace pour ne plus souffrir mais je n’arrive plus à en sortir. Je pensais qu’en allant voir une psy tout allait se résoudre, qu’elle allait me donner des réponses, trouver une solution miracle. Mais rien de tout ça, je me suis replongé dans ma mélancolie, j’ai recommencé à écrire, et je n’arrête pas de me poser des questions. Sans cesse. Peut être qu’il faut passer par là, surement d’ailleurs. Mais ça dure trop longtemps, je veux que tout s’arrête, je veux avoir une vie normale. Je veux être quelqu’un de normal. Je veux que toutes ces questions cessent, je veux juste être une fille. Une fille qui tombe amoureuse, qui a des papillons dans le ventre, qui ne pense qu’à un seul garçon, qui pleure quand il ne répond pas, qui ne peut s’empêcher de sourire à l’idée de le voir. Est-ce qu’un jour je vais être capable de refaire tout ça ? Sans avoir peur ? Sans partir en courant ? Est ce qu’un jour je vais arrêter de me poser un milliard de question, est ce qu’un jour je vais retrouver une relation normale avec un homme ? Quand est ce que je serais capable de tous les abandonner pour ne m’adonner qu’à un seul d’entre eux ? Quand est ce que je n’aurais plus peur d’être seule ? Qui me fera lâcher prise, qui feras disparaître cette façade derrière laquelle je me cache ?

26/05/2015

La source

Je crois que j’ai trouvé, je crois que je sais ce qui me pousse à faire tout ce que je fais. D’où ça vient ? *****. Evidemment. J’ai tellement souffert pour lui, j’avais perdu toute estime en moi, et maintenant j’essaie de retourner le tableau. Depuis tout ce temps j’essaie de me mettre à sa place, je veux ressentir le pouvoir qu’il avait sur moi, mais sur tous les hommes que je côtoie. Je prends un malin plaisir à pousser les gens à s’attacher à moi et à les rejeter, juste pour ressentir ce pouvoir. Pour contrôler les gens au lieu d’être contrôler moi-même. Je fais exactement tout ce qu’il a fait avec moi, je fais miroiter les hommes, et brise la relation au moment le plus critique. Je les brise à la manière « ***** », de la même manière qu’il avait de m’envoyer balader, de m’ignorer, de ne plus me répondre. Je suis devenue une experte pour forcer les gens à s’attacher à moi.


Je ressens le besoin de plaire, même aux personnes qui ne m’intéressent pas. Je ressens le devoir d’amadouer tout le monde, j’aime savoir que j’ai contrôle. C’est ça, je recherche le contrôle. Je veux pouvoir contrôler les gens comme j’ai été contrôlé. J’adore ressentir qu’un homme a besoin de moi, même si je n’ai pas besoin de lui.

04/2015 

Il est temps que le regard des gens change

J’aime tout dans le rapport sexuel, du début à la fin, mais ce que je préfère c’est la séduction, lorsque la tension s’installe entre deux parfaits inconnus. J’aime croiser le regard d’un bel homme et lui faire comprendre que je le veux et j’aime ressentir que c’est réciproque. J’adore la sensation d’attraction qui me pousse à aller vers lui. Juste écouter mes désirs et me laisser aller à mes envies. A quoi bon combattre ses pulsions ? C’est si bon d’avoir envie de quelqu’un, de s’imaginer sa manière de me faire l’amour, de dessiner son corps dans ma tête. Je crois que le plus excitant c’est le premier baiser, quand enfin on amorce la chose, quand tout démarre. Quel goût ont ses lèvres ? Est ce qu’il va m’offrir sa langue ou juste me mordiller les lèvres ? Ou les deux ? De quelle manière va-t-il me déshabiller ? Doucement, brutalement, timidement, sauvagement ? Parfois je m’abandonne et je revois passer dans ma tête tout les hommes avec qui j’ai fais l’amour. Je ferme les yeux et je sens sur mon corps toutes ces mains qui m’ont touché, les différents grains de peau qui m’ont effleuré.  Les différents corps que j’ai sentis sur moi et toutes ces odeurs. La chaleur, la sueur, les halètements, les gémissements, les poils qui se hérissent, les mains qui se crispent, mes ongles qui s’enfoncent sous leurs peaux. Et le dernier souffle. Quand je ferme les yeux et que je ne pense plus à rien, quand je ressens chaque parcelle de mon corps parce que je suis à fleur de peau. Puis je reprends ma respiration et je me sens juste bien. Tellement bien. Je reprends connaissance et à ce moment précis je me demande « Comment je pourrais m’en passer ? ».

10/03/2015

Je voudrais retrouver la passion qui m'habitait

Ça fait longtemps, très longtemps. Que je n’ai pas écris, que je n’ai pas écouté des musiques tristes en pensant à toi.
5 ans après, tu es toujours là, dans un coin de ma tête. Tu es mon premier amour et tu seras le dernier. Je ne t’oublierais jamais, je le sais, je le sens. Je ne peux pas et je ne le veux pas. Je me suis habitué à t’avoir constamment au fond de mon esprit, je me sentirais si seule si un jour j’en viens à t’oublier. Je suis animé par ton souvenir, et l’espoir qu’un jour tu me regardes comme je l’ai toujours fais. Je ne pourrais jamais vivre sans toi, même si on ne se parle pas, même si on ne se voit pas, j’ai besoin de savoir que tu es là, pas loin, et que tu vas bien.  Je ne pourrais jamais te voir comme quelqu’un de normal, même si j’essaie de me convaincre du contraire, je ne pourrais jamais utiliser le regard de l’amitié envers toi. C’est impossible. Je ne peux pas m’empêcher d’espérer, il y aura toujours un espoir, aussi minime soit il, il existera. Tu fais battre mon cœur, de près comme de loin, il n’est qu’à toi. Et je ne pourrais jamais m’abandonner à quelqu’un d’autre, je ne pourrais jamais offrir mon cœur à quelqu’un d’autre, puisque tu possèdes depuis toujours et à jamais une partie de moi. Je ne serais jamais celle d’un autre homme puisque tu possèdes déjà et pour toujours un bout de mon âme.
Aucun homme ne peut me combler comme j’imagine que tu puisses le faire.
Je suis consciente que j’utilise le mot « imaginer », puisque je ne sais pas à quoi ressemble la vie à tes côtés, et pourtant j’en rêve chaque nuit. Personne ne m’a fait ressentir ce que tu m’as fais. Personne n’a réussi à s’emparer de moi aussi profondément que toi. Et je ne veux qu’aucun autre homme ne prenne ta place.


Ça me manque, d’écrire, d’être bouleversée. Depuis notre histoire, je ne me suis jamais ressentie aussi mal, autant éprise de quelqu’un. Au point d’écrire des lignes et des lignes jusqu’à ne plus avoir de larme… Tu m’as immunisé contre l’amour, l’amour profond. Alors oui, je suis pourtant tombé amoureuse depuis, j’ai vécu d’inoubliables moments et rencontrer de merveilleuses personnes. Mais personne ne peut te remplacer dans ma tête, et alors qu’eux viennent et repartent, s’effacent au fur et à mesure de ma mémoire, toi tu restes gravé dans mon esprit. Et c’est à toi que je pense tout le temps quand rien ne va, quand je suis seule, quand je revois le passé. Il n’y a que toi qui image mes souvenirs. Le temps passe si vite et pourtant ton souvenir est intact.

11/01/2015

Bonheur

Merci. Merci de me faire vivre ma vie. Merci de me faire aimer ma vie. Tu es la meilleure chose qui pouvait m'arriver, et tous les autres textes n'ont plus aucune signification depuis que je te connais. Car je me rend compte que je me suis trompée. L'Amour existe, et il est accompagné du bonheur. Je peux aimer et être aimer. Je réalise la chance que j'ai, je vis enfin ce dont je rêve depuis si longtemps. L'Amour. Le Bonheur. C'est comme si quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe, tu seras là, j'aurais un tremplin, un réconfort. D'où que je tombe, tu seras en bas pour me rattraper, et tu me tiendras la main pour m'aider à remonter. Tout dans ma vie est devenu tellement plus simple. Les questions se sont évaporées, les doutes ont disparu. La joie de vivre m'a envahi. Je ne veux pas que ça s'arrête, je veux t'aimer pour le reste de ma vie. Tout simplement, merci d'exister, et de m'aimer.

Je t'aime.

24/10/2012
Vivre d'amour & d'eau fraîche.


Blog suspendu.


Ca y est, je crois que mon estime en toi est définitivement passé en dessous du niveau 0.

Il m'a fallu du temps, c'est vrai. J'aurais dû me rendre compte bien avant de l'absurdité de mon attachement envers toi. Mais ça y est, enfin, je suis entièrement convaincue que tu n'as rien à faire dans mon coeur. Et désormais, je suis enfin heureuse. Je suis heureuse de ne plus te vouloir malgré que tu sois un raté. Parce que oui, je savais que tu ne valais rien mais ça ne m'a pas empêché de t'aimer. Je te voulais quand même, et tous tes défauts avec. Maintenant je ne veux plus rien, je veux que tu disparaisses, je veux t'oublier, je veux te rayer. Je ne veux plus te voir. Je n'ai plus envie de toi, ni de ton amour. Jamais, jamais une seule personne n'avait causé autant de déceptions dans ma vie. Chaque jour qui passe, tu baisses dans mon estime. Chaque jour qui passe, je me demande comment tout ça a été possible. Chaque jour qui passe, tu pars de moi. Chaque jour qui passe, je revis un peu plus. Je me relève. Enfin. Sans toi.

14/12/2011

L'adolescence est la période de notre vie dans laquelle il se passe les meilleures et les pires choses de notre existence.

C'est tout de même fou comme les choses changent. Les gens, les sentiments, les amis. Quand on regarde en arrière on se demande comment on a fait pour en arriver là. Même si je ne suis pas très âgée, j'ai l'impression qu'il s'est déjà passé des millions de choses dans ma vie. Même si je regarde ne serait ce que 3 ans maximum en arrière. En 3 ans, j'ai découvert tellement de choses. C'est sûrement parce que c'est pendant les années d'adolescences qu'on apprend le plus de chose. J'ai appris à aimer, et à souffrir. J'ai compris le véritable sens de l'amitié, et que vos amis ne sont pas en très grand nombres. J'ai compris le mal que ça faisait de se faire trahir. J'ai connu la mort d'un être proche, le manque de quelqu'un de sa famille. J'ai compris enfin que la vie n'était pas simplement un jeu, mais que derrière ce petit mot se cachait des millions de sentiments, des millions de choses. Et je n'en suis certainement pas au bout. J'ai compris que la vie venait juste de commencer pour moi, et que c'est maintenant que je décide de mon avenir. J'ai abandonné mon rêve, parce que la vie est dure et que la musique ne réussira pas à m'entretenir comme je le souhaiterais. J'ai réussis à interpréter des choses que je ne comprenais pas. J'ai oublié ce que jamais je pensais ne pouvoir oublier. Ou plutôt, j'ai réussis à ne plus y penser autant qu'avant..
Ce qui m'a fait le plus évolué, ce sont les désillusions, le choc de la vérité, les déceptions. C'est triste d'évoluer sur des faits regrettables, mais je crois que c'est ce qui vous fait le plus grandir. La prise de conscience, le gain d'un peu de maturité s'accompagne forcément d'un événement brutale, qui vous assomme, mais qui vous rend plus fort lorsque vous reprenez connaissance.
Certaines choses du passé nous paraissent tellement inimaginables. On croise certaine personne sans rien dire, sans rien faire, alors qu'avant on passait notre vie avec eux.. Comment de si forts éloignements sont possibles ?

11/12/11

Faudrait m'mettre des batons de dynamite dans l'cerveau pour exploser mes neurones. Détruire tout ces putains d'souvenirs.

Je pense encore à toi, mais la différence entre hier et aujourd'hui, c'est que je pense aux mauvais moments, à la souffrance, aux pleurs, et pas seulement au bonheur que tu m'as apporté.
Je ne suis plus aveuglée, je te vois enfin comme tu es, j'admets enfin que la souffrance que tu m'as causé est nettement supérieur aux minuscules instants de bonheur passés à tes cotés.
Je t'ai fais disparaître de mon entourage, je t'ai bloqué et supprimé de partout, ainsi que tout ce que j'avais de toi, tout ce qui m'empêchait de t'oublier. J'ai tout effacé. Sauf ton souvenir. Mais malgré ce petit reste de toi, à ma plus grande satisfaction, je respire enfin. Un air sain, intacte, sans souffrance. Je me sens réellement bien pour la première fois depuis que je t'ai rencontré. Avant je voyais tout en rose avec toi, maintenant je te vois comme le pire être de cette terre. Tout ce que j'ai vécu avec toi, tout ce qui s'est passé, n'était en fait que du vent. Le bilan de cette stupide histoire ne rime qu'avec souffrance.
Comment j'ai pu être aussi aveugle, comment j'ai pu croire que tu méritais quelque chose de bien. Tu n'es rien, tu ne vaut rien. Tu n'as pas un brin d'intelligence, de reconnaissance. T'as juste une belle gueule. Juste ça. Rien d'autre. Un junkie inconscient, un égoïste insouciant. Et en tombant amoureuse de toi, je suis tombé à ton niveau.
C'est juste maintenant, que je ne t'ai plus du tout dans ma vie, que je rends compte qu'elle est tellement plus belle sans toi. J'ai perdu mon temps, tout ça pour essayer de te comprendre, tout ça pour rien.

22/11/11

La séduction ne dure qu'un temps. Les complications viennent avec les sentiments.

Je n'avais pas faim ce soir.

J'avais plutôt envie de m'enfouir sous ma couette.
Je n'avais envie de rien.
Je n'avais envie de rien parce qu’il a couché avec quelqu'un d'autre. Il a fait l'amour avec une autre fille.
Il a eu envie de quelqu'un d'autre, et je sais que ce n'est pas la seule, mais le fait de savoir, le fait de les imaginer, c'est ça qui me tue.
Savoir qu'il a embrassé une autre fille, que ses lèvres en ont touché d'autre que les miennes. Savoir qu'il a pris dans ses bras un autre corps que le mien. Qu'il a frotté sa peau contre une autre. Qu'il a .. Qu'il a fait tout ce qu'il a déjà fait avec moi, mais avec une autre.
Je l'imagine la regarder, lui sourire. Je l'imagine la draguer, la faire rire, puis l'embrasser.
Je l'imagine la toucher, la caresser.

L'amour fait maigrir.

2/11/11

Une photo, juste une photo. Un message, un regard. Et tout peut changer. Du rire je passe aux larmes.

Oui j'en fais trop. Bien sur que j'exagère. Mais tu vois je ne peux pas faire autrement.
Oui, quand je fais quelque chose je ne le fais pas à moitié. La finalité peut paraître excessive, mais j'ai besoin de ma dose de satisfaction.
Oui j'ai fais des choses regrettables, mais moi je ne regrette rien. Si je l'ai fais, c'est que j'avais envie.
Je pense qu'on a toujours le choix, et qu'une chose faite ne peut être effacée, alors autant vivre avec sans remord.
On peut tout éviter. Il faut apprendre à oublier.
Il faut savoir lâcher, abandonner. Arrêter de voir une lueur d'espoir car le néant refait vite surface, emprisonnant la lumière.
La souffrance naît de l'espoir, puis elle le réduit en poussière.
Et tout n'est que désillusion, chute, désespoir.
On ne fait qu'espérer, s'élever, puis retomber.
C'est le même schéma à chaque fois, sans cesse la même répétition.
Et pourtant on se fait toujours prendre.
On écoute jamais la raison, toujours la passion.
C'est pas la sécurité qui nous attire, c'est le danger, l'adrénaline. A force de trop vouloir se pencher, on tombe au fond du précipice.
On sait qu'on va souffrir, et on y va quand même. On fonce tête baissée, inconscient, irresponsable.
Jusqu'à se prendre un mur en pleine face.
Ca nous arrête le temps d'un moment, puis on l'escalade, et on recommence.
L'espérance.

23/10/11

Je ne l'ai jamais trouvé beau. Il était plus que ça. Il était fascinant. Je ne le regardais pas, je le dévorais.

Comment quelqu'un d'extérieur, qui n'a normalement aucun pouvoir sur moi, aucune manette en main qui lui permettrais de me commander, peut me faire si mal à l'intérieur ? Et puis c'est quoi d'abord les sentiments ? Ça sort d'où ? Et pourquoi on ne peut pas les contrôler ?
J'aimerais tellement, entendre parler de toi sans rien ressentir, te croiser sans me tortiller dans tous les sens, te regarder sans t'admirer.
Je voudrais ne pas penser à toi tout le temps, ne pas m'imaginer avec toi tous les soirs, ne pas pleurer quand je repense aux moments qu'on a passés ensemble, aux choses qu'on s'est dites, aux choses que j'ai envie de te dire.

14/10/11

Le soleil peut vite se cacher derrière un nuage. Et alors c'est la pluie qui tombe.

C'est vrai que dans la rue,
Quand je vois tout ces gens qui se tiennent par la main,
Je me sens un peu perdue,
Alors qu'eux connaissent par cœur leur chemin.

11/10/11
Ceci n'est pas un texte esthétique mais plutôt véridique, moi je suis là et je te dis que ce que je vois, on se suit tous comme des moutons, parce qu'on est tous des cons. Tout ce qui compte c'est la popularité, tu peux pas me contredire tu sais c'est la vérité.


19/09/11

Pour se lancer dans l'avenir, il faut d'abord tirer un trait sur le passé

Pour arrêter, il faut avoir la volonté. Et moi, je veux t'oublier. J'arrive pas à comprendre pourquoi je l'ai pas voulu plus tôt, pourquoi dès le début je me suis laissé tomber dans tes bras, pourquoi j'ai été si naïve au point de croire qu'on pourrait construire quelque chose de sérieux. Tu ne mérites pas mon attention, mon amour ni quoi que ce soit venant de ma part. Je n'en peux plus de toi, je veux que tu disparaisses de ma tête, de mon cœur, de mon corps.

1/10/11

Je vois ma vie comme une poésie, j'parle aux gens comme dans un roman.

  • Franchement le mec qui a inventé le verbe oublier il est vraiment trop con. Ce verbe a aucune signification ! On ne peut pas oublier, c'est impossible ! Même le pain par exemple, on y repensera toujours à un moment ou à un autre ! Lorsqu'on connait quelque chose, on ne peut pas le nier. C'est comme ça, c'est tout.
  • Faut-il ne jamais rien abandonner ou savoir dire tant pis ?
  • Ce qui est agaçant, c'est de ne pas avoir ce que l'on veut. C'est pour ça qu'on s'accroche, mais une fois le but atteint, difficile de ne pas se décrocher.
  • On le remarque, il nous sourit, on se parle, on se revoit, on s'attache, on flirte, on fait l'amour, on aime, on s'enguele, on souffre, on oublie. Et ca recommence. Encore et toujours, avec un autre.

T'es comme un grand bol d'air dans ma vie. Un coin de campagne au paradis.

Tu m'as donné envie de parler d'autre chose que de malheur, de souffrance. Avec toi, je me sens nouvelle, je vois en toi tout ce que j'aime et ta présence est comme un tranquillisant. J'aime ton visage, tes expressions, tes mains, je me sens vraiment bien avec toi, quand je te touches, j'ai l'impression qu'une bulle se forme autour de nous, une bulle de joie, où rien n'est grave et tout est possible. Je voudrais ne jamais en sortir. Tu me fais me sentir innocente, je redécouvre quelque chose. J'aime quand tu parles. J'aime juste être avec toi. Quand t'es là, j'ai besoin de rien sauf de toi. C'est comme une sensation nouvelle, j'ai envie de me protéger, de pas tout foutre en l'air. Alors je sais pas quoi faire.
T'es comme un grand bol d'air dans ma vie. Un coin de campagne au paradis. Je te trouve différent et tu me rends différente. Je respire que quand t'es là, tu m'apaises. 

25/09/11

Putain mais barre toi de moi, de mon corps, de ma tête. De mon coeur.

  • On court derrière ce qu'on veut et quand enfin ça s’arrête, quand on est arrivé au bout, on fait demi tour. Et on recommence toujours. Perpétuellement on cours.
    Si tu me dis non je te supplierai de me dire oui, et si tu me dis oui, je te dirais non. C'est ça la vie, on est tous un peu con.

  •  Je suis un ange qui aime les démons, une fille plutôt étrange qui aime les cons. 

13/09/11

Ca me fait du bien d'être loin de toi. Mais souvent, je pense à toi. J'espère que je suis en train de t'oublier.

Je ne voulais pas t'aimer, et crois moi, j'ai tout fais pour ne pas tomber amoureuse de toi. Mais ça n'a pas marcher. J'ai cédé, j'ai sacrifié un instant de bonheur pour toutes les souffrances qui ont suivis. Je n'aurais pas du, mais je l'ai voulu.

23/07/11
Faudrait innover, arrêter de parler de l'amour, des déceptions, des tristesses.. 

J'ai vendu un peu de ma nostalgie pour acheter de l'ambition.

Et si pour une fois au lieu de me lamenter, j'essayais de sourire et d'aller de l'avant. Si j'essayais enfin de mettre le passé de coté au lieu de le ressasser sans cesse, et de penser avant tout au présent et à l'avenir.
Ce qui s'est passé ne peut pas disparaître mais il faut essayer d'oublier, et subir les conséquences sans trop y penser. Ce qui est fait est fait, et rien ne sert de se morfondre, de regretter de toute ses forces, car rien ne changera. Il faut tourner la page, la déchirer, la brûler, et ne plus y penser. Il faut se relever.
Alors ce matin, après un nuit de profondes réflexions, je me suis dis que c'est ce que j'allais faire.
Je vais sourire à l'avenir, je vais réussir. Je vais devenir forte, et je vais profiter de l'instant présent. Les amitiés brisées resteront comme telles, et tant pis. Si elles se sont brisées c'est qu'elles n'étaient pas solide.Les plus importantes sont là, et seront toujours là.
Et je déclare que l'amour est une vraie merde, que ça m'a presque détruite, mais que je suis encore là et que peut-être qu'un jour je pourrais en profiter sans souffrir ( même si je doute que cela soit possible, mais bon. On ne sait jamais, il y en a qui dise que l'amour est la plus belle chose du monde. Moi je dis qu'il y a toujours une fin. )
Le bonheur se construit sur les malheurs, et on peut être heureux que si on veut bien lâcher le malheur. On est heureux si on le veut, si on prend la vie comme elle vient sans se poser de question.
Ce texte n'est pas fini.

31/08/11

C'est pas que tu comptais pour moi, c'est que rien ne comptait à part toi.

C'est impossible. Ça part pas. Je suis amoureuse de toi au feutre indélébile. Quand je t'ai vu, ou plutôt aperçu, d'un seul coup mon corps tout entier s'est mis à trembler. Je pensais pourtant t'avoir oublier. A croire que non. Putain. Mais même quand t'es moche je te trouve beau, même quand tu dis des conneries je te trouve intéressant. Je pourrais jamais me lassé de t'écouter, ni de te regarder. Je pourrais jamais me lasser de t'aimer non plus. Je te trouverais jamais minable, pour moi tu sera toujours parfait.

30/08/11

Je t'aimais, voilà tout.

J'aurais pu mourir, juste pour que tu te rendes compte que j'existais. J'aurais pu tout faire, c'était tellement dingue. Je me rend compte, maintenant que c'est passé, que c'était vraiment devenu une obsession, même pire que ça, tu étais ma hantise, mon cauchemar, et en même temps mon amour, mon idole. Tu étais tout, tu étais moi, tu étais ma vie. Je ne riais que pour toi, je ne pleurais que pour toi. Tu me dirigeais, tu me contrôlais. J'étais servante de ton âme, esclave de ton corps.
J'ai menti la dernière fois, j'avais dis que j'écrivais le dernier texte pour toi, et en voilà un autre. Tu ne cesseras donc jamais de m'habiter ? J'ai toujours cette douleur, là au fond, quand je pense à toi. Comme si t'étais parti mais que t'avais laissé quand même un petit mot sur la porte de mon coeur, où il y aurait marqué " Je suis passé par là ". Quelque chose comme ça..
Je ne comprends toujours pas, comment j'ai fais, comment tu as fais, pour que je sois ainsi éprise de toi.

2/08/2011

Je ne veux dépendre que de moi même, je recule devant l'attachement. Le bonheur, c'est être libre. Je n'ai besoin de personne.

J'arrive plus à dormir, dès que je ferme les yeux, des millions de mots se bousculent dans ma tête. Comme si ils voulaient me tuer, ils crient, des phrases se forment, elles veulent sortir. Alors je prends un carnet, et j'écris, tous ces mots qui se mélangent, et sur le papier se mêlent l'encre et les larmes. On dirait que ça devient comme une obsession.

23/07/11

L'amour, à forte dose, ça t'explose

Un amour comme ça
Ça ne s'oublie pas
C'était la première fois
Qu'on s'emparait de moi
Tu m'as bouleversée
Fait couler tant de larmes
Tu m'as assassiné
Sans même prendre d'armes
Tu m'as ensorcelé
Avec ton sourire
Tes yeux m'ont enchantés
Et tu m'as laissé mourir
Jamais je n'aimerais autant
Sinon pour me mutilé
Je souffrirais tellement
Que je préférerais me tuer
De ma vie
Ne reste que les cris
De la douleur de mon coeur
De la souffrance de ton absence

20/07/11

Tu sais j'ai envie de me lever, de commencer à danser, à crier, à tout casser, et je voudrais que tout le monde me suivent. Comme dans une comédie musicale, on serait tous ensemble et on ferait n'importe quoi. Ça serait bien.

Je voudrais dire à tout le monde que le monde est une merde.
On s'efforce tous d'être dans la norme, l'originalité se fait très rare, le but de notre jeunesse est d'avoir le plus d'amis sur facebook, d'avoir un profil stylé et une photo que 500 personnes aiment. On suit tous la mode comme des moutons, même si c'est laid on s'en fou c'est " hype " . On a plus de valeurs, on aime tous la même chose. On écoute les rumeurs et on les répand. On veut être la personne dont tout le monde parle, les meufs se comportent comme des salopes et les mecs comme des connards, et plus c'est poussé à l’extrême, mieux c'est. C'est pas un texte esthétique, c'est un texte véridique. J'avais envie de dire tout ça, alors vous direz peut-être que je met tout le monde dans le meme sac, que je généralise beaucoup trop, mais grand nombre d'entre nous se diront qu'il y a une part de vrai. Je m'inclue dans le "on" car maintenant si on veut vivre il faut être comme ça. Car on ne fait pas attention aux gens qui ne sont pas comme ça. C'est dur de dire tout ça, j'ai l'air d'une égocentrique.  Mais personne ne pourra dire que c'est totalement faux.
On se bat plus, ou seulement pour notre popularité.

19/07/2011

Pour vivre heureux, il faut vivre indépendant. Ne s'attacher à rien, ni personne. Ne dépendre de rien. L'attachement nuit à la santé, à la vie, au bonheur.

Si tu es bien lorsque tu le vois, continue. Mais dès l'instant où tu auras besoin de le voir pour être bien, arrête tout. Arrête tout ou tu ne seras plus jamais bien, arrêtes tout avant qu'il ne soit trop tard, avant que tu crèves d'amour pour lui.


19/07/2011

J'y arrive vraiment pas. Je fais tout pour t'effacer, mais à chaque fois que je m'éloigne de toi, j'ai encore plus besoin d'être près de toi.

Assise en tailleur sur mon lit, des mélodies mélancoliques accompagnent mon esprit. Des gouttes d'eau roulent sur mon visage, laissant un gout salé sur mes lèvres. Les mots se mélangent, mon stylo se vide de son encre tandis que mon corps se vide de son eau. Le papier se noircit, mes idées s’assombrissent, les mouchoirs s'accumulent, la souffrance s'agrandit. J'expose mes sentiments, je pose mes mots, j'explose en prose. Le regard vacant, j'oublierais en dormant, que c'est la fin.
Plus d'encre. Ni de larmes.

1/07/11

L'amour est une maladie que seul le temps guérit.

Nous essayons tous de paraître inaccessible, intouchable, insensible.Mais nous sommes tous vulnérables contre l'attachement. On ne choisit pas qui on aime. L'amour vous prend d'un coup, comme une maladie, et ne vous lâche plus. La souffrance nous guette. Personne n'est protégé. Il n'y a pas de remède, on ne peut pas s'empêcher de tomber amoureux. On tombe directement dans le vide, et ça ne s'arrête pas. Chute libre. On ne peut pas se rattraper, on ne peut pas voler, remonter. On a beau crier, l'air reste impalpable, impossible de se retenir, d'amortir la descente. Mais ce n'est pas le pire. La pire des souffrance, c'est l'atterrissage. Il vous prend d'un seul coup, tout autour de vous s'écroule, et c'est la réalité que vous vous prenez en pleine face. Le choc des désillusions, la peine de l'amour perdu, le désespoir de la solitude.

7.06.2011

L'amour ne s'oublie pas.

Si vous vous aimez vraiment, quoi qu'il advienne, quoi que vous fassiez, quoi que les autres disent, même si vous vous éloignez, vous finirez toujours par vous retrouver. Toujours. Car on ne peut pas rester loin de la personne que l'on aime, même si elle nous a fait tout le mal du monde, c'est inhumain, c'est d'elle dont tu auras le plus besoin durant n'importe quel instant de ta vie. C'est ainsi que fonctionne la vie. Lorsque l'on aime vraiment, on aime pour toujours, dans n'importe quelle circonstance.

01/06/2011

Je voudrais partir, m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

J'aimerais être avec toi, j'aimerais que tu me prennes dans tes bras. Je pense tout le temps à toi. 
Quand je te vois, je te regarde quand je sais que tu ne me regardes pas. Parce que je ne veux pas croiser ton regard, parce que je ne veux pas te faire la bise. Je veux plus que ca. 
Je veux sentir ton odeur dès mon réveil, je veux voir ton visage quand j'ouvre les yeux. Je veux qu'on s'envoie des messages niais, tu sais les messages qui disent toujours la même chose genre " tu me manques " mais qui font toujours autant plaisir. Je veux qu'on s'attende à la sortie des cours et qu'on rentre ensemble. Je veux que tu penses à moi autant que je pense à toi, et qu'on attende avec impatience le moment de se voir. Je veux être la seule à pouvoir te consoler, la seule avec qui tu serais vraiment bien. Ce serait tellement bien si tu pouvais être tout à moi, si on pouvait juste être heureux ensemble, rien que tous les deux, sans se soucier du monde, des autres. Sentir ta présence à chaque minute, savoir que tu seras là quoi qu'il arrive. Faire l'amour avec toi autant que je le voudrais, te serrer contre moi. Que tu me dises " Je t'aime " et que je te répondes " Moi aussi, je t'aime. ". Parce que c'est vrai, et pas parce qu'il faut le dire. Je veux qu'on s'engueule, qu'on s'insulte, que je te plaque contre le mur pour te frapper et qu'en fait j'aille seulement t'embrasser.  Je veux que tu me rendes heureuse. 

16.05.11 

J'ai envie de marcher puis de m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

 Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
 Tu vois là, en ce moment même, j'hésite entre te foutre une grosse gifle ou t'embrasser.
Ya une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi. J'aimerais que cette partie de moi triomphe.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lacher.
Et qu'est ce que je suis censé faire moi ?



Si tu me veux, fais moi croire le contraire.

Ce sont ses yeux. Ils avaient quelque chose de fascinant.

Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
Je ne sais plus quoi faire, si je dois t'ignorer, essayer de te parler, ou bien t'insulter.
Il y a une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lâcher.

Vas-y, avance. Ne te retourne pas, je ne suis plus là. Avance et n'y repense plus. Tu as tourné la page, continue. Oublie tout, recommence.

Très bien, tu veux jouer à ça. On va jouer. Mais saches que la haine est un putain de carburant et que personne ne pourra me freiner. Je veux que tu souffres autant que moi. Je veux que tu vois tout tes espoirs s'écrouler. Je veux que tu chiales toutes les larmes de ton corps.

23.04.11 

Finalement c'est facile de ne plus penser à quelqu'un. Il suffit de penser à quelqu'un d'autre.

Je n’écrirais plus pour toi
Tu ne le mérites pas
Tu ne me mérites pas
J’ai usé assez d’encre
Et bien trop de larmes ont coulées
Et je suis bien décidée à t’oublier
Maintenant si tu veux bien m’excuser  
J’ai d’autres choses à faire 
Que de tout tenter pour te plaire 

20/04/11

L’amour ne m’est définitivement pas destiné. Ça me rend folle. Pour moi, amour n’est que folie et dérision. Ça me tue.

Peut-être que c’est mieux comme ça. Certainement même. Il faut voir la réalité en face. Il n’y a pas d’espoir. Je ne peux pas te forcer à m’aimer. Ces choses là ne se contrôlent pas. C’est comme ça. On ne peut rien y faire ..
J’aurais tant aimé que tu tombes amoureux de moi, qu’on s’aime .. Mais c’est impossible n’est ce pas ? Tu l’aimes .. Et moi je t’aime. Mais j’abandonne. J’arrête, mieux vaut ne pas souffrir encore plus.
Je ne regrette rien, et je suis contente d’avoir passer ces moments avec toi. Je n’ai plus qu’à avancer. t’oublier, passer à autre chose. Ça va pas être facile, non loin de là, mais je vais y arriver. Parce que je le veux, je n’ai pas envie de sombrer à cause de toi. Ça ne sert à rien, à part a me tuer. J’ai mal tu sais. Mais tant pis. On ne peut pas changer le passé mais je vais faire en sorte que mon avenir soit meilleur. Et pour ça il faut que je te raye. Que je t’oublie.

C’était comme si on m’enfonçait un énorme pieux dans le ventre, et qu’on le faisait pivoter sur lui-même. Et pourtant je ne pouvais rien faire pour l’enlever, ça faisait cruellement mal mais j’étais comme paralysée. Les larmes coulaient sans que je ne m’en rende compte.
C’est à ce moment précis que je me suis rendue compte que je t’aimais.
Cette douleur là, la pire de toute, celle qui te donne envie de faire n’importe quoi pour être inconscient le temps que ça passe, je la reconnait. Elle signifie que je suis bel et bien amoureuse de toi.

Je me déteste d’avoir laissé partir mon cœur une nouvelle fois. Il s’est enfuit encore une fois, et je suis à nouveau désemparée, perdue, seule. Vidée.

4/04/2011

Je ne sais pas vraiment par où commencer, ni trop quoi dire. J'ai juste envie de parler de toi.

Il faudrait que j'écrive ce dernier texte, que je te dise tout. Une bonne fois pour toutes. Après ça je tournerais la page, et j'écrirais autre chose, je parlerais de quelqu'un d'autre.
J'ai relus nos conversations, et les textes pour toi. Je me suis souvenu du début.
Tu sais, quand je t'ai rencontré, je n'ai pas pensé une seule seconde que tu compterais autant pour moi. Je savais même pas ce que c'était l'amour. Comment j'aurais pu me douter que ça me tomberais dessus comme ça, d'un seul coup ? Je ne m'en suis même pas rendue compte. [...] En clair, j'étais obsédée. Obnubilée. J'ai jamais espérer que tu veuilles de moi, je savais dès le début qu'il n'y aurait rien. Mais putain j'ai pas fais exprès ! T'as totalement pris le pouvoir sur moi. Je ne vivais que pour toi. Et je n'exagère pas. Tu sais, maintenant, avec du recul, je me rends compte de la véritable importance que t'avais pour moi. Je sais même pas comment t'expliquer. Ce que je ressentais était bien plus fort que tout les mots du monde réunis. Je suis devenue folle je pleurais tout le temps. Je t'admirais tellement. Un regard, un sourire, une bise, et mon cœur battais plus fort et plus vite qu'un énorme métronome à 180. Quand je te voyais, ce que je ressentais était indescriptible. D'abord, mes pensées se stoppaient et mon regard se figeait sur toi. Ma gorge se desséchait et mon cœur se mettait à battre la chamade. Mes jambes flanchaient, ma température augmentait. Je tremblais tellement. Alors j'essayais de me contrôler, mais c'était impossible. Je te suivais, en espérant que tu me vois et que tu viennes me parler. Je défaillais. Je voulais en finir. J'arrivais plus à vivre sans toi. T'étais tout, et j'aurais fais n'importe quoi si tu m'avais demandé. Je perdais totalement le contrôle. J'étais seule. Mon cœur, ma tête, mon corps n'étais qu'à toi. tu possédais tout. Et je n'avais plus rien, rien que ton image dans la tête. Je voulais que ça s'arrête, mais je savais pas comment faire. M'exploser la tête contre un mur ? M'arracher le cœur ? Vivre sans toi signifiait mourir. Je ne t'ai pas oublié, je ne t'oublierais jamais. Et je n'aimerais jamais quelqu'un autant que je t'ai aimé. Ce serait du suicide.

27/03/2011

Ne crois pas les promesses, mais les preuves.

  • La vérité c'est que je ne t'oublierais jamais. Tu es ancré en moi. Je sais je me répète, tu connais la chanson.. 
  • Une nuit c'est trop court. Je te veux pour toujours.

Des mots. Après tout t'as raison, ce ne sont que des mots. Ca ne signifie rien.

Je fais comme si de rien n'étais, je ne te regarde pas, je ne te parle pas, je fais celle qui se fou de toi. L'indifférente. Mais y crois-tu vraiment ? Ce n'est pas que je ne te regarde pas, je te vois au loin, et dès que tu es à côté, je fais celle qui ne t'as pas vu alors que je sais pertinemment que tu es là. Je ne te parle pas, mais j'en ai tellement envie. Je fais tout pour ne pas penser à toi mais ya rien à faire. T'es dans ma tête et t'en pars pas. Je suis juste une bonne comédienne, et j'essaie de paraître forte. Mais au fond j'en peux plus. J'voudrais être avec toi. J'voudrais ne pas me retenir. Ne pas me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas ; une fille qui ne t'aime pas.

17/03/2011

J'ai envie de marcher puis de m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

Je ne sentait pas la pluie tomber, ni le vent se faufiler entre mes vêtements. Il y avait comme un bouclier de bonheur autour de moi. Je n'avais pas froid, et sur mon visage trônait un sourire niais, mais tellement naturel.

18/01/2011
Respire. Ferme les yeux. Écoute mon souffle. Tu entends comme tu m'apaises? Comme je me sens bien avec toi. Je t'aime tellement. Tu es un ange. Ta peau est si douce. Je t'aime, je t'aime. Je ne te lâcherais jamais. Jamais.

J'aimerais vous dire, vous raconter, comment je l'aimais. Ce qu'il s'est passé. Mais par où commencer ?

La vie est un cadeau, c'est une petite boîte qui grandit au fur et à mesure que le temps passe, elle se remplit de souvenirs, de peines, de joies, de sourires, de regards, du soleil, de la pluie, d'odeurs, de rires, de couleurs, de paysages, de musiques. Toutes ces choses font grandir cette boîte. Et elle se remplie de plus en plus, ça ne s'arrête jamais.

Il y a énormément de choses de lui dans cette boîte. Après l'avoir rencontré, elle a soudainement pris beaucoup d'ampleur. Il y a notre rencontre, le premier regard, le premier baiser. Son odeur, ses lèvres, son sourire. Son sourire. Son magnifique sourire, avec ces fossettes. Et tant d'autres encore.
On peut mettre des choses dans cette boîte, on peut en mettre autant qu'on veut, elle peut s'élargir à l'infini. Mais on ne peut rien retirer, rien. Une fois que quelque chose y est entré, il ne peut plus en ressortir. Jamais.
Il ne partira donc jamais. Et l'amour qui est entré, l'amour que j'avais pour lui, y restera pour toujours.

29/12/2010

Je vois ma vie comme une poésie, j'parle aux gens comme dans un roman.

J'aimerais bien t'envoyer un message, ou même t'appeler, mais je sais que tu répondras pas. Et j'ai horreur de parler dans le vide, je déteste attendre des heures que mon téléphone sonne et devenir folle dès que j'entends le moindre bruit. Là au moins, je n'aurais pas ce problème.

Tu ne liras sûrement jamais ce texte car tu te fous royalement de ce que je ressens, mais si jamais tu le fais, au moins tu sauras ce que je pense vraiment de toi.

Tu me plaisais tellement, la première fois que je t'ai vu je t'ai trouvé beau, mais je savais que c'était sans espoir. Et puis un an a passé, j'ai grandis, et on a finis par se connaître. C'est allé vite, et tu t'es retrouvé dans mon lit. Et à partir de là, j'ai perdu pied, on s'est perdu de vue. J'ai eu quelqu'un d'autre, et puis. Tu es revenu, et là, c'était encore pire qu'avant. J'ai même cru que j'allais tomber amoureuse de toi, j'ai eu peur tu sais. Alors j'ai tout fais pour t'effacer, pour ne plus te parler. Mais c'était trop dur. J'ai pas pu m'en empêcher. Et voila où ça m'a mener. On s'est revu, t'es revenu. Tout l'été j'ai pensé à toi, j'avais l'espoir qu'on puisse construire une belle histoire à la rentrée. Mais je me suis vite rendue compte de la réalité des choses. Tu m'as utilisé, j'étais ton passe-temps, la fille que tu pouvais éventuellement baiser quand t'avais rien à faire. Tu t'es jamais dis que j'avais pu m'attacher à toi ? Je te l'ai dis, je t'ai proposé d'avoir quelque chose de plus sérieux, mais t'as pas voulu. Alors j'ai tout arrêter. Mais une fois de plus, je me suis décourager, j'ai eu besoin de te parler. Mais là, là j'peux plus. On m'avait encore jamais fais un coup pareil. J'me suis rendue compte que t'étais vraiment un gros connard. Mais tu vois, j'ai quand même du mal à tout oublier. Je suis convaincue que tu mérites rien de bien, que t'es qu'un égoïste et que tu te fous de ce que ressente les gens. Mais il y a une partie de moi à qui tu manque. Parce que j'aime la façon que tu as de me toucher, j'aime ton regard & tes lèvres. J'aime être avec toi, et je peux rien faire contre ça. J'ai toutes ces images de nous deux qui défilent dans ma tête en permanence, j'arrive pas à les stopper.

30/11/2010

Ce qui est agaçant, c'est de ne pas avoir ce que l'on veut. C'est pour ça qu'on s'accroche, mais une fois le but atteint, difficile de ne pas se décrocher.

Dans mes rêves, le monde est beau, le toit des maisons est multicolore, le soleil ne cesse de briller, et l'amour dure pour l'éternité. Dans mes rêves, nous sommes heureux et solidaires. Dans mes rêves, il y a des sourires à chaque coin de rue. Dans mes rêves, je suis une artiste.


C'est assez étrange de se croiser, de baisser la tête, de s'ignorer de la sorte, après ce qu'il s'est passé. Enfin bon, de toute façon de nos jours, plus rien n'a d'importance. Après tout ça veut dire quoi faire l'amour avec quelqu'un maintenant ? On a baisé quoi. C'est tout.

29/11/2010

Elle multiplie les aventures pour tenter de l'oublier, mais rien à faire. C'est son visage qu'elle voit a chaque fois, c'est son parfum qu'elle sent, c'est sa bouche qu'elle imagine.



‎- Tu l'aimais ?

- Oui..

- Alors tu ne l'oublieras jamais. Tu vas seulement t'habituer à cette absence, à cette souffrance qui creuse ton cœur au fur et à mesure que les jours passent sans lui. Et puis au bout d'un moment tu en seras insensible. Mais il restera toujours une trace, une cicatrice. Un signe qui voudras dire " je l'aimais ", à jamais.

18/11/2010

Inévitablement.

De toute façon c'est inévitable non ? J'suis pas folle de lui, mais j'sens bien qu'il a un truc qui est en train de naître en moi. J'aimerais y stopper, faire quelque chose pour que ça cesse. Ne plus lui parler avant qu'il ne soit trop tard ? Tout oublier, tout supprimer ? En si peu de temps, il y a déjà tellement de souvenirs . Ca y est, ça va recommencer, et je ne peux rien faire. Je sais que je vais être malade mais j'ai pas de médicament. Je suis en train de tomber amoureuse de lui, et je n'ai rien pour me défendre. Je ne peux que laisser faire, l'Amour va m'enchaîner et je n'aurais plus qu'à attendre que la chaîne rouille, que les maillons cassent.


Tout à l'heure pour la première fois, en attendant son prénom et en l'apercevant, mon ventre s'est tordu, je me suis soudain sentie tremblante. Mon poux s'est accéléré, mes joues se sont empourprées. J'ai bien essayer de respirer lentement et calmement, mais ça n'a rien changer. Je vais l'aimer.

19/10/2010

Il n'est peut-être pas trop tard.

Ne te laisse pas tomber amoureuse de lui, tu peux encore tout arrêter. Je sais que t'es attaché à lui, mais avec un peu de volonté tu arriveras à te défaire de lui, fais le maintenant, car bientôt, même avec toute la volonté du monde, tu n'y arriveras plus. Il ne te mérite même pas ! Tu le sais ! Trouves toi quelqu'un d'autre. Le monde regorge d'homme bien mieux que lui. Regarde toi, regarde les gens autour de toi. Tu n'as pas besoin de lui. Regarde le, il n'a que l'apparence. Laisse le, crois moi, il n'en vaut pas la peine. Reprends confiance, redresse la tête, rencontres de nouvelles personnes, change toi les idées, et sors toi de la tête. Tout de suite.

15/09/2010

Je croyais que mon inspiration avait disparu. Ouf, elle est revenue.

Lorsqu'ils dorment, on ne discerne pas leurs deux silhouettes sous la couette, ils ne forment plus qu'un seul corps. Ils sont emboîtés, comme deux pièces de puzzle. Ils sont bouche contre bouche, s'échangent leurs souffles comme pour se maintenir en vie mutuellement. Leurs pieds se touchent, leurs jambes s'entrecroisent, on dirait un tableau. Leurs cœurs battent régulièrement, paisiblement, en même temps. Ils se tiennent la mains, on dirait qu'ils sont dans le même rêve, qu'ils voyagent ensemble dans l'inconnu de la nuit. Ils s'aiment même en dormant.

31/08/2010

Je ne m'appelle pas Victor Hugo, j'essaie seulement de mettre sur mes sentiments quelques mots. Écrire m'aide à remettre mes idées en place, à y voir plus clair. C'est comme le plan d'une maison un peu tu vois.



C'était beau la façon dont elle le regardait, ça se voyait, elle aurait tout fait pour lui. Mon dieu qu'elle l'aimait.. Mais maintenant elle parait éteinte, c'est comme si il lui avait volé cette petite lueur qu'elle avait dans les yeux. Quand il est parti, il a pris ce petit pétillement si beau qu'elle avait en elle ... Il a arraché son sourire, il a kidnappé la moitié d'elle-même. Celle qui était heureuse.

20/07/2010

Je sens mon coeur qui bat la seconde, comme pour me rappeller le temps qui passe en attendant qu'il réponde.

Tu me manques tellement si tu savais. Il y a cet énorme vide en moi depuis que tu n'es plus la. Même si t'es parti, j'peux pas m'empêcher de penser à toi. A tous ces moments passés avec toi. Je me souviens de ton regard, tes grands yeux bleus dans lesquels j'aurais voulu me plonger. Ton sourire, tes fossettes. Tes cheveux, toujours brillants et bien coiffés. Ta démarche, le parfum que tu laissais derrière toi. Tes différentes tenues toutes plus originales les unes que les autres. Le contact de ta joue contre la mienne tout les matins. Le seul fait de t'apercevoir au fond d'un couloir. Tout ça, tu vois, ça me manque. Je ne demande pas de te voir tous les jours non stop. Mais juste une fois, même si c'est seulement dix minutes. Mais laisse moi te voir, j'ai besoin de toi. Laisse moi ressentir toutes ces choses en moi lorsque je te vois. Laisse mon cœur s'emballer, mes joues rougir, mes mains trembler, mes yeux pétiller. Laisse moi t'approcher, te toucher et me blottir contre toi, une dernière fois. Après, promis, je te laisse tranquille. Je veux que ça se termine sur une bonne image. Et tu vois, moi, dans tes bras, c'est la chose la plus merveilleuse que tu puisses m'offrir. Alors, s'il te plait, fais le. C'est la dernière chose que je te demande. Écoute moi une ultime fois, et après je te laisserais, je disparaîtrais. Ça sera comme si j'avais jamais existé.

15/07/2010

Quand on commence une histoire, on sait qu'elle va se finir. Bien ou mal ? On ne peut pas savoir, mais la plupart du temps lorsque quelque chose se finit, ce n'est jamais bien.

Tu crois m'avoir fais mal ? Au contraire. Tu m'as rendu plus forte, tu sais, comme on dit souvent " ce qui ne me tue pas me rend plus forte " . Et tu es loin de m'avoir tuée. Je vais t'oublier, c'est sur. A l'avenir réfléchis bien avant de t'engager. Dans un couple on est deux. Tu t'es cru tout seul, et bien maintenant tu l'es vraiment. Je ne vais pas m'arrêter de vivre, je suis juste déçue de m'apercevoir qu'en fait tu n'as rien de spécial, que tu es comme tous les autres. Je te pensais différent, plus attentif, plus sensible. Mais en fait, t'es même pire. Un beau parleur. Voila ce que t'es. On balance pas des " je t'aime " comme ça, il faut le penser, il faut le vivre. Un beau parleur menteur. Tu m'as dit que je t'avais redonné le sourire, en fait tu as juste pris le mien. Un beau parleur menteur et voleur. Tu m'as pris le petit reste d'espoir que j'avais, l'espoir d'avoir enfin trouvé quelqu'un de bien, l'espoir de connaitre l'amour, l'espoir de vivre une belle histoire. L'espoir que les hommes ne sont pas tous pareils, égoïste et lâche. Mais tant pis, je ne vais pas en mourir, je voulais juste que tu saches ce que je pense. Je n'ai plus aucune estime en toi, tu ne me mérites même pas.  

02/07/2010

Independante de mon malheur ; sans lui je n'écris pas. Je ne vis pas.

On a fait l'amour, maintenant on se dit même plus bonjour. Tu sais, c'est pas que j'sois amoureuse de toi, non loin de là. Mais bon, j'aurais aimé un peu plus de considération de ta part. T'as quand même passé la nuit dans mes bras. On s'est embrassé, on s'est touché, on s'est regardé, comme deux enfants qui découvrent leurs corps. On a fait l'amour, et t'es parti. Et depuis, c'est comme si t'étais jamais venu. Ça ressemble à un rêve. Ça s'est passé en une nuit. Rien avant, rien après. Un moment parfait, mais éphémère, unique. Comme une étoile filante. T'es venu, on s'est vu, tu es parti. C'est tout.

28/06/2010

T'étais ma moitié. T'étais le ying & moi le yang.

Il y a des jours comme ça où tu sais plus trop qui t'es. Il y a des jours comme ça où ta vie est insignifiante. Tu te demandes à quoi tu sers. Tu sais pas trop où t'en es. Tu voudrais qu'il y ai un miracle, que quelqu'un tombe du ciel. Quelqu'un qui te comprendrais, qui t'aimerais. Quelqu'un qui te rendrais heureux, en fait ..

14/06/2010

J'ai besoin de toi comme les lacets aux chaussures. J'marche pas droit sans toi.

Tu t'es installé dans mon cœur sans même me demandé. T'es arrivé, tranquille, et hop t'as posé tes bagages. J'ai même pas compris c'que s'passait, tu t'es emparée de moi comme on achète une paire de chaussures. Tu as fais ce que tu voulais de moi. Et tu m'as laissé. T'es parti et tu m'as laissé, comme on jette une paire de chaussures trouées. Mais moi du coup, j'suis toute seule, et j'ai mal. J'ai mal au cœur et je souffre de ton absence. Chaque jour un peu plus tu pars de moi. Mais j'veux pas moi ! Tu me manques trop, reviens. Je t'en prie ne me laisse pas dans cette solitude. J'ai besoin de toi comme les lacets aux chaussures. J'marche pas droit sans toi.


14/06/2010

Je ne pourrais jamais te regarder sans me dire " je t'aimais ".

Je ne l’aime plus. J’me souviens, avant, j’aurais fait n’importe quoi pour lui, juste pour qu’il fasse attention à moi, qu’il me parle ou même juste qu’il me regarde. Maintenant, tu vois, on peut dire que c’est fini, j’suis comme "guérie". J’arrive à le regarder sans m’effondrer, je me sens revivre petit à petit. C’est... comme si j’avais grandi. Evidemment il reste une trace, comme une cicatrice tu vois, un truc marqué en moi qui ne disparaîtra jamais, pour me rappeler à jamais ce que j’ai ressenti, que je l’aimais vraiment et qu’il ne sera jamais n’importe qui.


31/05/2010

J'ai aimé, bien trop fort, mais surtout, j'ai appris.

Faut que j'te préviennes. J'ai aimé, bien trop fort, mais surtout, j'ai appris, j'ai appris qu'aimer faisait essentiellement souffrir. Alors qu'on soit clair, si tu comptes me faire du mal, t'es pas tombé sur la bonne personne. Essaie, t'y arriverais pas, je ne donne plus mon amour aussi facilement. C'est fini, alors fais attention s'il te plait. Ne joue pas, si tu m'aimes, alors aime moi vraiment, et rend moi heureuse. Sinon va-t-en, et ne me laisse pas dans le doute. Je ne veux pas de ça.


30/05/2010

C'est quand tu t'en fou de moi que je suis folle de toi.

Tu sais c'qui m'énerves le plus, c'est pas quand tu me harcèles, quand tu t'énerves, que tu me traites et que tu me regardes comme si tu voulais me tuer. Non, c'qui m'énerve le plus c'est quand tu me réponds pas, quand on dirait que t'en a rien a foutre de c'que je te dis, quand tu m'donnes pas d'nouvelles pendant une semaine. Et là, tu vois, quand t'es comme ça, au lieu de laisser tomber et de me dire que tu n'en vaut pas la peine, et bien je fais tout l'inverse, je m'accroche encore plus, et c'est moi qui te harcèle, qui s'énerve et qui te traite. Tu vois c'est totalement débile, mais c'est quand tu t'en fou de moi que je suis folle de toi.


30/05/2010

Je suis devenue folle depuis que je t'aime, en particulier de toi.

C'est sur que je n'suis pas comme ces filles, presque parfaites, qui sont belles même le matin, celles qui obtiennent tout ce qu'elles veulent grâce à un sourire, celles qu'on remarque dans la rue avec leur démarche de mannequin. Ces filles qui rendent les hommes fous parce qu'elles paraissent inaccessible. Tu sais je n'ai rien d'extraordinaire, je suis une jeune fille tout ce qu'il y a de plus banale, je ne m'habille pas très bien, je n'ai pas les yeux bleus ni de magnifiques cheveux, je n'ai pas de talents, mais moi au moins je t'aime. Et ça c'est pas la chose la plus magnifique qu'une fille puisse faire ? T'aimer ?


29/05/2010

J'suis comme une lettre sur laquelle on aurait oublié d'écrire l'adresse, j'suis paumée.

Je suis dehors, il pleut & j'ai les pieds mouillés, mon jean est trempé & mon mascara a coulé. Des grosses gouttes roulent sur mes joues mais c'est pas la pluie. Non, c'est pas la pluie. Je marche toute seule le long de la route, je me sens abandonné. Je suis comme une lettre sur laquelle on aurait oublié d'écrire l'adresse, je suis paumée. Je ne sais pas où je suis ni où je vais. Je me laisse emporter et je vais tout droit, peut être que ça me mènera quelque part. J'en profite pour penser mais tout se mélange dans ma tête, j'essaie de tout remettre dans l'ordre, mais je n'y arrive pas. Tout est brouillé, c'est la pagaille. Je n'y arrive pas, je n'y arrive plus. J'ai besoin de prendre la vie comme elle vient sans me poser de question. Faut que j'arrête de chercher les complications la où il n'y en a pas. faut que je réussisse à être heureuse.


2010

Comme quoi l'amour, ça previent pas, si il m'avait dit qu'il allait arrivé, j'lui aurait dit de passer un autre jour.

Je vais mieux. J'pense toujours à toi et je t'aime encore, mais moins. Tu me manques, c'est dur, mais tu vois j'peux vivre sans toi.J'pourrais aller encore mieux si tu m'ignorais pas comme tu l'fais mais bon, au moins ça renforce l'idée que tu vaux pas la peine que j'pleure pour toi. J'espère que c'est le dernier texte que j'fais pour toi, j'espère que j'suis vraiment en train d'tourner la page & que j'vais t'oublier. En tout cas j'suis motivée, j'en ai marre de souffrir à cause de toi ; de passer des soirées à me morfondre toute seule dans mon lit. Je sais pas si j'aurais préféré ne jamais te connaitre ou pas. Parce'que même si j'dis que tu m'as beaucoup fait souffrir, tu m'a aussi apporter beaucoup de bonheur ; j'ai passé des bons moments avec toi. J'dis que t'es un connard mais tu sais très bien tout c'que j'pense de toi en bien. Au début d'l'année, si quelqu'un m'avait dit que j'allais tomber amoureuse de toi, j'lui aurais ris au nez. Comme quoi l'amour, ça prévient pas, si il m'avait dit qu'il allait arrivé, j'lui aurait dit de passer un autre jour.

27/05/2010

Mais c'est ma nature, l'impossible m'attire plus que tout.

Cet article, je l'écris pour lui. Je sais pas si il se reconnaitra. J'pense que oui vu qu'il connait mes sentiments. J'écoute de la musique, tu sais le genre de musique ou ya une nana qui chante et tu peux pas t'empecher d'pleurer quand tu l'entends, j'suis sur la table du salon ; je pense à lui. Il est 22:25, et c'est pas l'heure qui va changer quelque chose, puisqu'à 8h ou à 15h, quelque soit le moment de la journée, je pense à lui. C'est dingue, il m'obsède, j'ai que son prénom dans la tête, tout c'que j'vois tout c'que j'entends me fait penser à lui. J'me rememorre, au début quand on se parlait normalement ; que j'laimais pas. Quand j'trouvais qu'il avait une tête ; une personnalité bisarre. Je le trouvais louche. Et puis plus j'le connaissais, plus il m'intriguait, j'me suis habitué à sa façon de parler, à sa façon d'etre ; à sa tête. J'le trouvais de plus en plus beau, j'ai découvert qu'il était bourré de charme, c'est surement l'homme le plus charismatique que j'connaisse. Il est différent, special et tout autres synonymes possible. C'est un connard prétentieux ; perfectionniste mais BORDEL je l'aime. Je l'aime je l'aime. Et j'pourrais le dire encore et encore. Il suffit d'un regard, pour me faire rougir. Dès qu'il me parle, je stress, je sais plus quoi dire. Et quand c'est moi qui parle et qu'il me répond pas, ça m'enerve, j'déprime, j'me pose pleins d'questions. Ca faisait longtemps que j'avais pas été autant amoureuse. Ma vie tourne autour de lui, il me manque quand j'le vois pas d'une journée. J'ai jamais besoin d'le chercher, j'le repère dès qu'il est dans les parages. J'ai l'impression d'avoir un radar, j'vois que lui, les autres sont invisibles à coté. Je sais que j'perds mon temps en m'accrochant à lui, mais tout le monde sait que les sentiments ne se controle pas, je sais que c'est impossible. Mais c'est ma nature, l'impossible m'attire plus que tout. Je sais aussi que j'vais finir par l'oublier parceque l'année prochaine j'le verrais plus & yen aura surement d'autre. Mais en attendant, en ce moment, c'est lui que j'ai 24h/24 dans la tête ; dans le coeur. C'est lui que j'aime.

27/05/2010

Ne pars pas. Ou je pars avec toi.

Une futilité, une toute petit chose, et votre bonheur, celui à peine reconstruit, ce bonheur si fragile, il s'écroule, et c'est comme si il n'allais jamais revenir.