J'ai vendu un peu de ma nostalgie pour acheter de l'ambition.

Et si pour une fois au lieu de me lamenter, j'essayais de sourire et d'aller de l'avant. Si j'essayais enfin de mettre le passé de coté au lieu de le ressasser sans cesse, et de penser avant tout au présent et à l'avenir.
Ce qui s'est passé ne peut pas disparaître mais il faut essayer d'oublier, et subir les conséquences sans trop y penser. Ce qui est fait est fait, et rien ne sert de se morfondre, de regretter de toute ses forces, car rien ne changera. Il faut tourner la page, la déchirer, la brûler, et ne plus y penser. Il faut se relever.
Alors ce matin, après un nuit de profondes réflexions, je me suis dis que c'est ce que j'allais faire.
Je vais sourire à l'avenir, je vais réussir. Je vais devenir forte, et je vais profiter de l'instant présent. Les amitiés brisées resteront comme telles, et tant pis. Si elles se sont brisées c'est qu'elles n'étaient pas solide.Les plus importantes sont là, et seront toujours là.
Et je déclare que l'amour est une vraie merde, que ça m'a presque détruite, mais que je suis encore là et que peut-être qu'un jour je pourrais en profiter sans souffrir ( même si je doute que cela soit possible, mais bon. On ne sait jamais, il y en a qui dise que l'amour est la plus belle chose du monde. Moi je dis qu'il y a toujours une fin. )
Le bonheur se construit sur les malheurs, et on peut être heureux que si on veut bien lâcher le malheur. On est heureux si on le veut, si on prend la vie comme elle vient sans se poser de question.
Ce texte n'est pas fini.

31/08/11

C'est pas que tu comptais pour moi, c'est que rien ne comptait à part toi.

C'est impossible. Ça part pas. Je suis amoureuse de toi au feutre indélébile. Quand je t'ai vu, ou plutôt aperçu, d'un seul coup mon corps tout entier s'est mis à trembler. Je pensais pourtant t'avoir oublier. A croire que non. Putain. Mais même quand t'es moche je te trouve beau, même quand tu dis des conneries je te trouve intéressant. Je pourrais jamais me lassé de t'écouter, ni de te regarder. Je pourrais jamais me lasser de t'aimer non plus. Je te trouverais jamais minable, pour moi tu sera toujours parfait.

30/08/11

Je t'aimais, voilà tout.

J'aurais pu mourir, juste pour que tu te rendes compte que j'existais. J'aurais pu tout faire, c'était tellement dingue. Je me rend compte, maintenant que c'est passé, que c'était vraiment devenu une obsession, même pire que ça, tu étais ma hantise, mon cauchemar, et en même temps mon amour, mon idole. Tu étais tout, tu étais moi, tu étais ma vie. Je ne riais que pour toi, je ne pleurais que pour toi. Tu me dirigeais, tu me contrôlais. J'étais servante de ton âme, esclave de ton corps.
J'ai menti la dernière fois, j'avais dis que j'écrivais le dernier texte pour toi, et en voilà un autre. Tu ne cesseras donc jamais de m'habiter ? J'ai toujours cette douleur, là au fond, quand je pense à toi. Comme si t'étais parti mais que t'avais laissé quand même un petit mot sur la porte de mon coeur, où il y aurait marqué " Je suis passé par là ". Quelque chose comme ça..
Je ne comprends toujours pas, comment j'ai fais, comment tu as fais, pour que je sois ainsi éprise de toi.

2/08/2011