Ca y est, je crois que mon estime en toi est définitivement passé en dessous du niveau 0.

Il m'a fallu du temps, c'est vrai. J'aurais dû me rendre compte bien avant de l'absurdité de mon attachement envers toi. Mais ça y est, enfin, je suis entièrement convaincue que tu n'as rien à faire dans mon coeur. Et désormais, je suis enfin heureuse. Je suis heureuse de ne plus te vouloir malgré que tu sois un raté. Parce que oui, je savais que tu ne valais rien mais ça ne m'a pas empêché de t'aimer. Je te voulais quand même, et tous tes défauts avec. Maintenant je ne veux plus rien, je veux que tu disparaisses, je veux t'oublier, je veux te rayer. Je ne veux plus te voir. Je n'ai plus envie de toi, ni de ton amour. Jamais, jamais une seule personne n'avait causé autant de déceptions dans ma vie. Chaque jour qui passe, tu baisses dans mon estime. Chaque jour qui passe, je me demande comment tout ça a été possible. Chaque jour qui passe, tu pars de moi. Chaque jour qui passe, je revis un peu plus. Je me relève. Enfin. Sans toi.

14/12/2011

L'adolescence est la période de notre vie dans laquelle il se passe les meilleures et les pires choses de notre existence.

C'est tout de même fou comme les choses changent. Les gens, les sentiments, les amis. Quand on regarde en arrière on se demande comment on a fait pour en arriver là. Même si je ne suis pas très âgée, j'ai l'impression qu'il s'est déjà passé des millions de choses dans ma vie. Même si je regarde ne serait ce que 3 ans maximum en arrière. En 3 ans, j'ai découvert tellement de choses. C'est sûrement parce que c'est pendant les années d'adolescences qu'on apprend le plus de chose. J'ai appris à aimer, et à souffrir. J'ai compris le véritable sens de l'amitié, et que vos amis ne sont pas en très grand nombres. J'ai compris le mal que ça faisait de se faire trahir. J'ai connu la mort d'un être proche, le manque de quelqu'un de sa famille. J'ai compris enfin que la vie n'était pas simplement un jeu, mais que derrière ce petit mot se cachait des millions de sentiments, des millions de choses. Et je n'en suis certainement pas au bout. J'ai compris que la vie venait juste de commencer pour moi, et que c'est maintenant que je décide de mon avenir. J'ai abandonné mon rêve, parce que la vie est dure et que la musique ne réussira pas à m'entretenir comme je le souhaiterais. J'ai réussis à interpréter des choses que je ne comprenais pas. J'ai oublié ce que jamais je pensais ne pouvoir oublier. Ou plutôt, j'ai réussis à ne plus y penser autant qu'avant..
Ce qui m'a fait le plus évolué, ce sont les désillusions, le choc de la vérité, les déceptions. C'est triste d'évoluer sur des faits regrettables, mais je crois que c'est ce qui vous fait le plus grandir. La prise de conscience, le gain d'un peu de maturité s'accompagne forcément d'un événement brutale, qui vous assomme, mais qui vous rend plus fort lorsque vous reprenez connaissance.
Certaines choses du passé nous paraissent tellement inimaginables. On croise certaine personne sans rien dire, sans rien faire, alors qu'avant on passait notre vie avec eux.. Comment de si forts éloignements sont possibles ?

11/12/11

Faudrait m'mettre des batons de dynamite dans l'cerveau pour exploser mes neurones. Détruire tout ces putains d'souvenirs.

Je pense encore à toi, mais la différence entre hier et aujourd'hui, c'est que je pense aux mauvais moments, à la souffrance, aux pleurs, et pas seulement au bonheur que tu m'as apporté.
Je ne suis plus aveuglée, je te vois enfin comme tu es, j'admets enfin que la souffrance que tu m'as causé est nettement supérieur aux minuscules instants de bonheur passés à tes cotés.
Je t'ai fais disparaître de mon entourage, je t'ai bloqué et supprimé de partout, ainsi que tout ce que j'avais de toi, tout ce qui m'empêchait de t'oublier. J'ai tout effacé. Sauf ton souvenir. Mais malgré ce petit reste de toi, à ma plus grande satisfaction, je respire enfin. Un air sain, intacte, sans souffrance. Je me sens réellement bien pour la première fois depuis que je t'ai rencontré. Avant je voyais tout en rose avec toi, maintenant je te vois comme le pire être de cette terre. Tout ce que j'ai vécu avec toi, tout ce qui s'est passé, n'était en fait que du vent. Le bilan de cette stupide histoire ne rime qu'avec souffrance.
Comment j'ai pu être aussi aveugle, comment j'ai pu croire que tu méritais quelque chose de bien. Tu n'es rien, tu ne vaut rien. Tu n'as pas un brin d'intelligence, de reconnaissance. T'as juste une belle gueule. Juste ça. Rien d'autre. Un junkie inconscient, un égoïste insouciant. Et en tombant amoureuse de toi, je suis tombé à ton niveau.
C'est juste maintenant, que je ne t'ai plus du tout dans ma vie, que je rends compte qu'elle est tellement plus belle sans toi. J'ai perdu mon temps, tout ça pour essayer de te comprendre, tout ça pour rien.

22/11/11

La séduction ne dure qu'un temps. Les complications viennent avec les sentiments.

Je n'avais pas faim ce soir.

J'avais plutôt envie de m'enfouir sous ma couette.
Je n'avais envie de rien.
Je n'avais envie de rien parce qu’il a couché avec quelqu'un d'autre. Il a fait l'amour avec une autre fille.
Il a eu envie de quelqu'un d'autre, et je sais que ce n'est pas la seule, mais le fait de savoir, le fait de les imaginer, c'est ça qui me tue.
Savoir qu'il a embrassé une autre fille, que ses lèvres en ont touché d'autre que les miennes. Savoir qu'il a pris dans ses bras un autre corps que le mien. Qu'il a frotté sa peau contre une autre. Qu'il a .. Qu'il a fait tout ce qu'il a déjà fait avec moi, mais avec une autre.
Je l'imagine la regarder, lui sourire. Je l'imagine la draguer, la faire rire, puis l'embrasser.
Je l'imagine la toucher, la caresser.

L'amour fait maigrir.

2/11/11

Une photo, juste une photo. Un message, un regard. Et tout peut changer. Du rire je passe aux larmes.

Oui j'en fais trop. Bien sur que j'exagère. Mais tu vois je ne peux pas faire autrement.
Oui, quand je fais quelque chose je ne le fais pas à moitié. La finalité peut paraître excessive, mais j'ai besoin de ma dose de satisfaction.
Oui j'ai fais des choses regrettables, mais moi je ne regrette rien. Si je l'ai fais, c'est que j'avais envie.
Je pense qu'on a toujours le choix, et qu'une chose faite ne peut être effacée, alors autant vivre avec sans remord.
On peut tout éviter. Il faut apprendre à oublier.
Il faut savoir lâcher, abandonner. Arrêter de voir une lueur d'espoir car le néant refait vite surface, emprisonnant la lumière.
La souffrance naît de l'espoir, puis elle le réduit en poussière.
Et tout n'est que désillusion, chute, désespoir.
On ne fait qu'espérer, s'élever, puis retomber.
C'est le même schéma à chaque fois, sans cesse la même répétition.
Et pourtant on se fait toujours prendre.
On écoute jamais la raison, toujours la passion.
C'est pas la sécurité qui nous attire, c'est le danger, l'adrénaline. A force de trop vouloir se pencher, on tombe au fond du précipice.
On sait qu'on va souffrir, et on y va quand même. On fonce tête baissée, inconscient, irresponsable.
Jusqu'à se prendre un mur en pleine face.
Ca nous arrête le temps d'un moment, puis on l'escalade, et on recommence.
L'espérance.

23/10/11

Je ne l'ai jamais trouvé beau. Il était plus que ça. Il était fascinant. Je ne le regardais pas, je le dévorais.

Comment quelqu'un d'extérieur, qui n'a normalement aucun pouvoir sur moi, aucune manette en main qui lui permettrais de me commander, peut me faire si mal à l'intérieur ? Et puis c'est quoi d'abord les sentiments ? Ça sort d'où ? Et pourquoi on ne peut pas les contrôler ?
J'aimerais tellement, entendre parler de toi sans rien ressentir, te croiser sans me tortiller dans tous les sens, te regarder sans t'admirer.
Je voudrais ne pas penser à toi tout le temps, ne pas m'imaginer avec toi tous les soirs, ne pas pleurer quand je repense aux moments qu'on a passés ensemble, aux choses qu'on s'est dites, aux choses que j'ai envie de te dire.

14/10/11

Le soleil peut vite se cacher derrière un nuage. Et alors c'est la pluie qui tombe.

C'est vrai que dans la rue,
Quand je vois tout ces gens qui se tiennent par la main,
Je me sens un peu perdue,
Alors qu'eux connaissent par cœur leur chemin.

11/10/11
Ceci n'est pas un texte esthétique mais plutôt véridique, moi je suis là et je te dis que ce que je vois, on se suit tous comme des moutons, parce qu'on est tous des cons. Tout ce qui compte c'est la popularité, tu peux pas me contredire tu sais c'est la vérité.


19/09/11

Pour se lancer dans l'avenir, il faut d'abord tirer un trait sur le passé

Pour arrêter, il faut avoir la volonté. Et moi, je veux t'oublier. J'arrive pas à comprendre pourquoi je l'ai pas voulu plus tôt, pourquoi dès le début je me suis laissé tomber dans tes bras, pourquoi j'ai été si naïve au point de croire qu'on pourrait construire quelque chose de sérieux. Tu ne mérites pas mon attention, mon amour ni quoi que ce soit venant de ma part. Je n'en peux plus de toi, je veux que tu disparaisses de ma tête, de mon cœur, de mon corps.

1/10/11

Je vois ma vie comme une poésie, j'parle aux gens comme dans un roman.

  • Franchement le mec qui a inventé le verbe oublier il est vraiment trop con. Ce verbe a aucune signification ! On ne peut pas oublier, c'est impossible ! Même le pain par exemple, on y repensera toujours à un moment ou à un autre ! Lorsqu'on connait quelque chose, on ne peut pas le nier. C'est comme ça, c'est tout.
  • Faut-il ne jamais rien abandonner ou savoir dire tant pis ?
  • Ce qui est agaçant, c'est de ne pas avoir ce que l'on veut. C'est pour ça qu'on s'accroche, mais une fois le but atteint, difficile de ne pas se décrocher.
  • On le remarque, il nous sourit, on se parle, on se revoit, on s'attache, on flirte, on fait l'amour, on aime, on s'enguele, on souffre, on oublie. Et ca recommence. Encore et toujours, avec un autre.

T'es comme un grand bol d'air dans ma vie. Un coin de campagne au paradis.

Tu m'as donné envie de parler d'autre chose que de malheur, de souffrance. Avec toi, je me sens nouvelle, je vois en toi tout ce que j'aime et ta présence est comme un tranquillisant. J'aime ton visage, tes expressions, tes mains, je me sens vraiment bien avec toi, quand je te touches, j'ai l'impression qu'une bulle se forme autour de nous, une bulle de joie, où rien n'est grave et tout est possible. Je voudrais ne jamais en sortir. Tu me fais me sentir innocente, je redécouvre quelque chose. J'aime quand tu parles. J'aime juste être avec toi. Quand t'es là, j'ai besoin de rien sauf de toi. C'est comme une sensation nouvelle, j'ai envie de me protéger, de pas tout foutre en l'air. Alors je sais pas quoi faire.
T'es comme un grand bol d'air dans ma vie. Un coin de campagne au paradis. Je te trouve différent et tu me rends différente. Je respire que quand t'es là, tu m'apaises. 

25/09/11

Putain mais barre toi de moi, de mon corps, de ma tête. De mon coeur.

  • On court derrière ce qu'on veut et quand enfin ça s’arrête, quand on est arrivé au bout, on fait demi tour. Et on recommence toujours. Perpétuellement on cours.
    Si tu me dis non je te supplierai de me dire oui, et si tu me dis oui, je te dirais non. C'est ça la vie, on est tous un peu con.

  •  Je suis un ange qui aime les démons, une fille plutôt étrange qui aime les cons. 

13/09/11

Ca me fait du bien d'être loin de toi. Mais souvent, je pense à toi. J'espère que je suis en train de t'oublier.

Je ne voulais pas t'aimer, et crois moi, j'ai tout fais pour ne pas tomber amoureuse de toi. Mais ça n'a pas marcher. J'ai cédé, j'ai sacrifié un instant de bonheur pour toutes les souffrances qui ont suivis. Je n'aurais pas du, mais je l'ai voulu.

23/07/11
Faudrait innover, arrêter de parler de l'amour, des déceptions, des tristesses.. 

J'ai vendu un peu de ma nostalgie pour acheter de l'ambition.

Et si pour une fois au lieu de me lamenter, j'essayais de sourire et d'aller de l'avant. Si j'essayais enfin de mettre le passé de coté au lieu de le ressasser sans cesse, et de penser avant tout au présent et à l'avenir.
Ce qui s'est passé ne peut pas disparaître mais il faut essayer d'oublier, et subir les conséquences sans trop y penser. Ce qui est fait est fait, et rien ne sert de se morfondre, de regretter de toute ses forces, car rien ne changera. Il faut tourner la page, la déchirer, la brûler, et ne plus y penser. Il faut se relever.
Alors ce matin, après un nuit de profondes réflexions, je me suis dis que c'est ce que j'allais faire.
Je vais sourire à l'avenir, je vais réussir. Je vais devenir forte, et je vais profiter de l'instant présent. Les amitiés brisées resteront comme telles, et tant pis. Si elles se sont brisées c'est qu'elles n'étaient pas solide.Les plus importantes sont là, et seront toujours là.
Et je déclare que l'amour est une vraie merde, que ça m'a presque détruite, mais que je suis encore là et que peut-être qu'un jour je pourrais en profiter sans souffrir ( même si je doute que cela soit possible, mais bon. On ne sait jamais, il y en a qui dise que l'amour est la plus belle chose du monde. Moi je dis qu'il y a toujours une fin. )
Le bonheur se construit sur les malheurs, et on peut être heureux que si on veut bien lâcher le malheur. On est heureux si on le veut, si on prend la vie comme elle vient sans se poser de question.
Ce texte n'est pas fini.

31/08/11

C'est pas que tu comptais pour moi, c'est que rien ne comptait à part toi.

C'est impossible. Ça part pas. Je suis amoureuse de toi au feutre indélébile. Quand je t'ai vu, ou plutôt aperçu, d'un seul coup mon corps tout entier s'est mis à trembler. Je pensais pourtant t'avoir oublier. A croire que non. Putain. Mais même quand t'es moche je te trouve beau, même quand tu dis des conneries je te trouve intéressant. Je pourrais jamais me lassé de t'écouter, ni de te regarder. Je pourrais jamais me lasser de t'aimer non plus. Je te trouverais jamais minable, pour moi tu sera toujours parfait.

30/08/11

Je t'aimais, voilà tout.

J'aurais pu mourir, juste pour que tu te rendes compte que j'existais. J'aurais pu tout faire, c'était tellement dingue. Je me rend compte, maintenant que c'est passé, que c'était vraiment devenu une obsession, même pire que ça, tu étais ma hantise, mon cauchemar, et en même temps mon amour, mon idole. Tu étais tout, tu étais moi, tu étais ma vie. Je ne riais que pour toi, je ne pleurais que pour toi. Tu me dirigeais, tu me contrôlais. J'étais servante de ton âme, esclave de ton corps.
J'ai menti la dernière fois, j'avais dis que j'écrivais le dernier texte pour toi, et en voilà un autre. Tu ne cesseras donc jamais de m'habiter ? J'ai toujours cette douleur, là au fond, quand je pense à toi. Comme si t'étais parti mais que t'avais laissé quand même un petit mot sur la porte de mon coeur, où il y aurait marqué " Je suis passé par là ". Quelque chose comme ça..
Je ne comprends toujours pas, comment j'ai fais, comment tu as fais, pour que je sois ainsi éprise de toi.

2/08/2011

Je ne veux dépendre que de moi même, je recule devant l'attachement. Le bonheur, c'est être libre. Je n'ai besoin de personne.

J'arrive plus à dormir, dès que je ferme les yeux, des millions de mots se bousculent dans ma tête. Comme si ils voulaient me tuer, ils crient, des phrases se forment, elles veulent sortir. Alors je prends un carnet, et j'écris, tous ces mots qui se mélangent, et sur le papier se mêlent l'encre et les larmes. On dirait que ça devient comme une obsession.

23/07/11

L'amour, à forte dose, ça t'explose

Un amour comme ça
Ça ne s'oublie pas
C'était la première fois
Qu'on s'emparait de moi
Tu m'as bouleversée
Fait couler tant de larmes
Tu m'as assassiné
Sans même prendre d'armes
Tu m'as ensorcelé
Avec ton sourire
Tes yeux m'ont enchantés
Et tu m'as laissé mourir
Jamais je n'aimerais autant
Sinon pour me mutilé
Je souffrirais tellement
Que je préférerais me tuer
De ma vie
Ne reste que les cris
De la douleur de mon coeur
De la souffrance de ton absence

20/07/11

Tu sais j'ai envie de me lever, de commencer à danser, à crier, à tout casser, et je voudrais que tout le monde me suivent. Comme dans une comédie musicale, on serait tous ensemble et on ferait n'importe quoi. Ça serait bien.

Je voudrais dire à tout le monde que le monde est une merde.
On s'efforce tous d'être dans la norme, l'originalité se fait très rare, le but de notre jeunesse est d'avoir le plus d'amis sur facebook, d'avoir un profil stylé et une photo que 500 personnes aiment. On suit tous la mode comme des moutons, même si c'est laid on s'en fou c'est " hype " . On a plus de valeurs, on aime tous la même chose. On écoute les rumeurs et on les répand. On veut être la personne dont tout le monde parle, les meufs se comportent comme des salopes et les mecs comme des connards, et plus c'est poussé à l’extrême, mieux c'est. C'est pas un texte esthétique, c'est un texte véridique. J'avais envie de dire tout ça, alors vous direz peut-être que je met tout le monde dans le meme sac, que je généralise beaucoup trop, mais grand nombre d'entre nous se diront qu'il y a une part de vrai. Je m'inclue dans le "on" car maintenant si on veut vivre il faut être comme ça. Car on ne fait pas attention aux gens qui ne sont pas comme ça. C'est dur de dire tout ça, j'ai l'air d'une égocentrique.  Mais personne ne pourra dire que c'est totalement faux.
On se bat plus, ou seulement pour notre popularité.

19/07/2011

Pour vivre heureux, il faut vivre indépendant. Ne s'attacher à rien, ni personne. Ne dépendre de rien. L'attachement nuit à la santé, à la vie, au bonheur.

Si tu es bien lorsque tu le vois, continue. Mais dès l'instant où tu auras besoin de le voir pour être bien, arrête tout. Arrête tout ou tu ne seras plus jamais bien, arrêtes tout avant qu'il ne soit trop tard, avant que tu crèves d'amour pour lui.


19/07/2011

J'y arrive vraiment pas. Je fais tout pour t'effacer, mais à chaque fois que je m'éloigne de toi, j'ai encore plus besoin d'être près de toi.

Assise en tailleur sur mon lit, des mélodies mélancoliques accompagnent mon esprit. Des gouttes d'eau roulent sur mon visage, laissant un gout salé sur mes lèvres. Les mots se mélangent, mon stylo se vide de son encre tandis que mon corps se vide de son eau. Le papier se noircit, mes idées s’assombrissent, les mouchoirs s'accumulent, la souffrance s'agrandit. J'expose mes sentiments, je pose mes mots, j'explose en prose. Le regard vacant, j'oublierais en dormant, que c'est la fin.
Plus d'encre. Ni de larmes.

1/07/11

L'amour est une maladie que seul le temps guérit.

Nous essayons tous de paraître inaccessible, intouchable, insensible.Mais nous sommes tous vulnérables contre l'attachement. On ne choisit pas qui on aime. L'amour vous prend d'un coup, comme une maladie, et ne vous lâche plus. La souffrance nous guette. Personne n'est protégé. Il n'y a pas de remède, on ne peut pas s'empêcher de tomber amoureux. On tombe directement dans le vide, et ça ne s'arrête pas. Chute libre. On ne peut pas se rattraper, on ne peut pas voler, remonter. On a beau crier, l'air reste impalpable, impossible de se retenir, d'amortir la descente. Mais ce n'est pas le pire. La pire des souffrance, c'est l'atterrissage. Il vous prend d'un seul coup, tout autour de vous s'écroule, et c'est la réalité que vous vous prenez en pleine face. Le choc des désillusions, la peine de l'amour perdu, le désespoir de la solitude.

7.06.2011

L'amour ne s'oublie pas.

Si vous vous aimez vraiment, quoi qu'il advienne, quoi que vous fassiez, quoi que les autres disent, même si vous vous éloignez, vous finirez toujours par vous retrouver. Toujours. Car on ne peut pas rester loin de la personne que l'on aime, même si elle nous a fait tout le mal du monde, c'est inhumain, c'est d'elle dont tu auras le plus besoin durant n'importe quel instant de ta vie. C'est ainsi que fonctionne la vie. Lorsque l'on aime vraiment, on aime pour toujours, dans n'importe quelle circonstance.

01/06/2011

Je voudrais partir, m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

J'aimerais être avec toi, j'aimerais que tu me prennes dans tes bras. Je pense tout le temps à toi. 
Quand je te vois, je te regarde quand je sais que tu ne me regardes pas. Parce que je ne veux pas croiser ton regard, parce que je ne veux pas te faire la bise. Je veux plus que ca. 
Je veux sentir ton odeur dès mon réveil, je veux voir ton visage quand j'ouvre les yeux. Je veux qu'on s'envoie des messages niais, tu sais les messages qui disent toujours la même chose genre " tu me manques " mais qui font toujours autant plaisir. Je veux qu'on s'attende à la sortie des cours et qu'on rentre ensemble. Je veux que tu penses à moi autant que je pense à toi, et qu'on attende avec impatience le moment de se voir. Je veux être la seule à pouvoir te consoler, la seule avec qui tu serais vraiment bien. Ce serait tellement bien si tu pouvais être tout à moi, si on pouvait juste être heureux ensemble, rien que tous les deux, sans se soucier du monde, des autres. Sentir ta présence à chaque minute, savoir que tu seras là quoi qu'il arrive. Faire l'amour avec toi autant que je le voudrais, te serrer contre moi. Que tu me dises " Je t'aime " et que je te répondes " Moi aussi, je t'aime. ". Parce que c'est vrai, et pas parce qu'il faut le dire. Je veux qu'on s'engueule, qu'on s'insulte, que je te plaque contre le mur pour te frapper et qu'en fait j'aille seulement t'embrasser.  Je veux que tu me rendes heureuse. 

16.05.11 

J'ai envie de marcher puis de m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

 Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
 Tu vois là, en ce moment même, j'hésite entre te foutre une grosse gifle ou t'embrasser.
Ya une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi. J'aimerais que cette partie de moi triomphe.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lacher.
Et qu'est ce que je suis censé faire moi ?



Si tu me veux, fais moi croire le contraire.

Ce sont ses yeux. Ils avaient quelque chose de fascinant.

Je te déteste autant que je t'aime, et ce n'est pas peu dire.
Je ne sais plus quoi faire, si je dois t'ignorer, essayer de te parler, ou bien t'insulter.
Il y a une partie de moi qui te hais, qui veut t'oublier, qui te maudit. Ce coté là me dit que t'es juste qu'un gros con, que tu ne mérites même pas que je pense à toi, et encore moins que j'ose verser une larme à cause de toi.
L'autre coté, tu dois t'en douter, est totalement épris de toi. C'est simple, il ne veut pas te lâcher.

Vas-y, avance. Ne te retourne pas, je ne suis plus là. Avance et n'y repense plus. Tu as tourné la page, continue. Oublie tout, recommence.

Très bien, tu veux jouer à ça. On va jouer. Mais saches que la haine est un putain de carburant et que personne ne pourra me freiner. Je veux que tu souffres autant que moi. Je veux que tu vois tout tes espoirs s'écrouler. Je veux que tu chiales toutes les larmes de ton corps.

23.04.11 

Finalement c'est facile de ne plus penser à quelqu'un. Il suffit de penser à quelqu'un d'autre.

Je n’écrirais plus pour toi
Tu ne le mérites pas
Tu ne me mérites pas
J’ai usé assez d’encre
Et bien trop de larmes ont coulées
Et je suis bien décidée à t’oublier
Maintenant si tu veux bien m’excuser  
J’ai d’autres choses à faire 
Que de tout tenter pour te plaire 

20/04/11

L’amour ne m’est définitivement pas destiné. Ça me rend folle. Pour moi, amour n’est que folie et dérision. Ça me tue.

Peut-être que c’est mieux comme ça. Certainement même. Il faut voir la réalité en face. Il n’y a pas d’espoir. Je ne peux pas te forcer à m’aimer. Ces choses là ne se contrôlent pas. C’est comme ça. On ne peut rien y faire ..
J’aurais tant aimé que tu tombes amoureux de moi, qu’on s’aime .. Mais c’est impossible n’est ce pas ? Tu l’aimes .. Et moi je t’aime. Mais j’abandonne. J’arrête, mieux vaut ne pas souffrir encore plus.
Je ne regrette rien, et je suis contente d’avoir passer ces moments avec toi. Je n’ai plus qu’à avancer. t’oublier, passer à autre chose. Ça va pas être facile, non loin de là, mais je vais y arriver. Parce que je le veux, je n’ai pas envie de sombrer à cause de toi. Ça ne sert à rien, à part a me tuer. J’ai mal tu sais. Mais tant pis. On ne peut pas changer le passé mais je vais faire en sorte que mon avenir soit meilleur. Et pour ça il faut que je te raye. Que je t’oublie.

C’était comme si on m’enfonçait un énorme pieux dans le ventre, et qu’on le faisait pivoter sur lui-même. Et pourtant je ne pouvais rien faire pour l’enlever, ça faisait cruellement mal mais j’étais comme paralysée. Les larmes coulaient sans que je ne m’en rende compte.
C’est à ce moment précis que je me suis rendue compte que je t’aimais.
Cette douleur là, la pire de toute, celle qui te donne envie de faire n’importe quoi pour être inconscient le temps que ça passe, je la reconnait. Elle signifie que je suis bel et bien amoureuse de toi.

Je me déteste d’avoir laissé partir mon cœur une nouvelle fois. Il s’est enfuit encore une fois, et je suis à nouveau désemparée, perdue, seule. Vidée.

4/04/2011

Je ne sais pas vraiment par où commencer, ni trop quoi dire. J'ai juste envie de parler de toi.

Il faudrait que j'écrive ce dernier texte, que je te dise tout. Une bonne fois pour toutes. Après ça je tournerais la page, et j'écrirais autre chose, je parlerais de quelqu'un d'autre.
J'ai relus nos conversations, et les textes pour toi. Je me suis souvenu du début.
Tu sais, quand je t'ai rencontré, je n'ai pas pensé une seule seconde que tu compterais autant pour moi. Je savais même pas ce que c'était l'amour. Comment j'aurais pu me douter que ça me tomberais dessus comme ça, d'un seul coup ? Je ne m'en suis même pas rendue compte. [...] En clair, j'étais obsédée. Obnubilée. J'ai jamais espérer que tu veuilles de moi, je savais dès le début qu'il n'y aurait rien. Mais putain j'ai pas fais exprès ! T'as totalement pris le pouvoir sur moi. Je ne vivais que pour toi. Et je n'exagère pas. Tu sais, maintenant, avec du recul, je me rends compte de la véritable importance que t'avais pour moi. Je sais même pas comment t'expliquer. Ce que je ressentais était bien plus fort que tout les mots du monde réunis. Je suis devenue folle je pleurais tout le temps. Je t'admirais tellement. Un regard, un sourire, une bise, et mon cœur battais plus fort et plus vite qu'un énorme métronome à 180. Quand je te voyais, ce que je ressentais était indescriptible. D'abord, mes pensées se stoppaient et mon regard se figeait sur toi. Ma gorge se desséchait et mon cœur se mettait à battre la chamade. Mes jambes flanchaient, ma température augmentait. Je tremblais tellement. Alors j'essayais de me contrôler, mais c'était impossible. Je te suivais, en espérant que tu me vois et que tu viennes me parler. Je défaillais. Je voulais en finir. J'arrivais plus à vivre sans toi. T'étais tout, et j'aurais fais n'importe quoi si tu m'avais demandé. Je perdais totalement le contrôle. J'étais seule. Mon cœur, ma tête, mon corps n'étais qu'à toi. tu possédais tout. Et je n'avais plus rien, rien que ton image dans la tête. Je voulais que ça s'arrête, mais je savais pas comment faire. M'exploser la tête contre un mur ? M'arracher le cœur ? Vivre sans toi signifiait mourir. Je ne t'ai pas oublié, je ne t'oublierais jamais. Et je n'aimerais jamais quelqu'un autant que je t'ai aimé. Ce serait du suicide.

27/03/2011

Ne crois pas les promesses, mais les preuves.

  • La vérité c'est que je ne t'oublierais jamais. Tu es ancré en moi. Je sais je me répète, tu connais la chanson.. 
  • Une nuit c'est trop court. Je te veux pour toujours.

Des mots. Après tout t'as raison, ce ne sont que des mots. Ca ne signifie rien.

Je fais comme si de rien n'étais, je ne te regarde pas, je ne te parle pas, je fais celle qui se fou de toi. L'indifférente. Mais y crois-tu vraiment ? Ce n'est pas que je ne te regarde pas, je te vois au loin, et dès que tu es à côté, je fais celle qui ne t'as pas vu alors que je sais pertinemment que tu es là. Je ne te parle pas, mais j'en ai tellement envie. Je fais tout pour ne pas penser à toi mais ya rien à faire. T'es dans ma tête et t'en pars pas. Je suis juste une bonne comédienne, et j'essaie de paraître forte. Mais au fond j'en peux plus. J'voudrais être avec toi. J'voudrais ne pas me retenir. Ne pas me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas ; une fille qui ne t'aime pas.

17/03/2011

J'ai envie de marcher puis de m'envoler. Flotter dans les airs. Voir la vie d'en haut, de loin. M'évader.

Je ne sentait pas la pluie tomber, ni le vent se faufiler entre mes vêtements. Il y avait comme un bouclier de bonheur autour de moi. Je n'avais pas froid, et sur mon visage trônait un sourire niais, mais tellement naturel.

18/01/2011